jeudi 12 février 2015

Fifty shades, tome 3 : Cinquante nuances plus claires de Erika Leonard James

Voilà bientôt trois ans que ce troisième tome patientait dans mon Epal. Il faut dire que ma légère déception du second tome ne me donner pas envie de poursuivre la saga. Avec la sortie du film (j’ai prévu d’aller la voir samedi, je vous ferrais certainement, un petit compte-rendu sur la page Facebook), je me suis motivée à lire ce livre…





Résumé (présentation de l’éditeur) :
La rencontre d’Ana Steele et de Christian Grey, chef d’entreprise ambitieux mais tourmenté, les a précipités dans une histoire d’amour torride qui a irrémédiablement bouleversé leurs existences. Ana a toujours su que ses amours avec son Cinquante Nuances seraient orageuses : leur vie commune pose des défis que ni l’un ni l’autre n’avaient envisagés.
Ana doit apprendre à partager le style de vie opulent de Grey sans sacrifier sa propre intégrité ou son indépendance ; Grey doit surmonter son obsession de tout contrôler, et exorciser les horreurs qui le hantent.
Enfin réunis, ils ont tout : l’amour, la passion, l’intimité, la richesse et une infinité de possibles.
Mais alors même que la vie les comble, le malheur et le destin conspirent pour plonger Ana dans le pire des cauchemars…


Première phrase :
« Maman ! »


Nombre de pages :
JC Lattès : 445 pages.


Mon avis :
En commençant ma lecture, je n’attendais pas grand chose. Et heureusement parce que sinon je pense que j’aurais été super déçue…

Commençons par la romance, l’histoire d’amour entre Christian et Anastasia. Franchement, je ne sais pas comment elle fait pour accepter tout ça. Certes, il paraît que l’amour rend aveugle mais quand même. Que Christian veuille contrôler au lit, pourquoi pas mais de là à interdire à Ana de sortir et de contrôler tous ses faits gestes… Ce n’est plus un dominant c’est un manipulateur voire même un pervers narcissique.
De ce fait, je trouve que dans ce troisième tome, on ne peut pas vraiment parler de romance ou d’histoire d’amour…
L’auteure a voulu mettre un peu de piment dans le couple (hors sexe) et dans la lecture mais malheureusement, j’avais vu venir le coup plusieurs dizaines de pages avant…
De plus, je trouve que leur relation n’a absolument pas évolué entre le premier et le troisième tome. Ah si, maintenant Ana aime le sexe pervers et Christian s’en veut, après coup, de l’avoir fait souffrir pour lui donner du plaisir.
Conclusion, l’axe numéro un qui servait de pub à la sortie de cette saga devient obsolète, non, il ne s’agit pas vraiment de BDSM.

A la fin du second tome, les prémices d’une intrigue pointait le bout de leur nez… J’attendais donc de voir comment l’auteure allait traiter celle-ci. Je suis assez déçue. Cette intrigue est assez peu traiter. Certes on connait le fin mot de l’histoire mais je m’attendais à plus de rebondissements…

Je ne vous parlerais pas des personnages. Comme je l’ai dit, Ana et Christian n’ont pas vraiment évolué.
Les personnages secondaires sont quasiment absents sauf pour servir l’histoire de notre couple…

Concernant le style de Erika Leonard James, j’ai été agacée par les répétitions de mots (cinquante nuances, regards sombres…) et parfois même de phrases entières (notamment pendant les ébats sexuels). Les scènes de sexe sont bien évidemment présentes mais il s’agit bien souvent du sexe vanille que Christian détestait tant.
J’ai été assez déstabilisée par le fait de revenir très fréquemment dans le passé. Pourquoi nous faire vivre certains moments juste par les souvenirs d’Ana et pas en direct ? Certaines fois cela pouvait être intéressant mais la plupart du temps c’était des moments inutiles.
Un petit bonus pas inintéressant après l’épilogue… Nous découvrons le premier Noël de Christian en compagnie des Grey ainsi que sa vision de sa rencontre avec Ana.

Pour conclure, un troisième tome inutile. J’aurais dû m’arrêter au premier tome puisqu’aucune évolution n’est présente à la fin de la saga. En tout cas, j’espère qu’il s’agit de la fin.
Je n’ai pas passé un mauvais moment de lecture mais il est loin d’être exceptionnel.


L’auteure (présentation de l’éditeur) :

EL James, ancienne productrice de télévision, mariée et mère de deux enfants, vit à Londres. Depuis sa plus tendre enfance, elle rêvait d’écrire des récits dont les lecteurs tomberaient amoureux, mais avait mis ces rêves entre parenthèses pour se consacrer à sa famille et à sa carrière.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
sa page Facebook (en anglais)
son site internet (en anglais)


La maison d’édition :

Crée en 1968, JC Lattès appartient au groupe Hachette. Ils ont une vocation généraliste et essaye de maintenir un équilibre entre publications françaises et publications étrangères.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
la page Facebook
le site internet


Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez : 







Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire