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mardi 30 juin 2015

Une aventure d’Anita Blake, tueuse de vampires, tome 8 : Lune bleue – Laurell K. Hamilton

Voilà bien longtemps que j’avais laissé la bit-lit de côté… Je ne dirais pas que les retrouvailles ont été passionnantes mais elles n’ont pas non plus été détestables.





Résumé (présentation de l’éditeur) :
Richard, mon ex-fiancé et chef de la meute de loups-garous locale, était en train d’étudier les trolls dans le Tennessee quand il a été arrêté… pour tentative de viol. D’accord, nous ne sommes pas en très bons termes depuis que je l’ai plaqué pour Jean-Claude, le vampire qui me courait après depuis une éternité. Mais tout de même, je connais bien Richard. Je sais qu’il ne ferait jamais une chose pareille. Je flaire comme une machination, et déjouer les machinations, c’est mon passe-temps favori quand je ne suis pas en train de relever les morts. Donc, cap sur le Tennessee pour aller délivrer Richard. Le seul problème, c’est que je ne sais pas comment Jean-Claude va réagir. Enfin, quand je dis « le seul problème »… Je suis sûre que ça ne le restera pas longtemps.


Première phrase :
« J’étais en train de rêver de chair froide et de draps couleur de sang frais. »


Nombre de pages :
France loisirs : 654 pages.


Mon avis :
Anita Blake n’est pas mon héroïne de saga bit-lit préférée mais j’apprécie lire de temps à autre ces aventures.
Malheureusement, ce tome-ci n’aura pas su me séduire… Je n’ai pas passé un moment désagréable de lecture mais j’ai souvent été agacée par ce qui se passaient dans ces plus de 600 pages.

L’histoire racontée n’a rien de très passionnante… Richard, le loup-garou, est inculpé de viol. Aussitôt Anita accourt accompagnée de loup-garou, panthère-garou et vampire. Peu à peu, nous découvrirons qu’il s’agit finalement d’une machination pour acheter une propriété qui cacherait dans son sol un objet inestimable.
Il y a beaucoup de bagarre dans ce tome. Parfois trop, certaines scènes sont vraiment de trop.

La romance… Je pensais que maintenant que Anita avait fait son choix entre le vampire et le loup-garou, on allait enfin en avoir terminé avec le triangle amoureux. Et bien non, il est, j’ai l’impression, encore plus présent que dans les précédents tomes.
De plus, le comportement d’Anita est vraiment insupportable. Il faudrait que ses hommes acceptent qu’elle couche avec eux deux mais qu’eux ne voient personnes d’autres. Désolée mais soit on assume sa polygamie soit on reste monogame soit même. C’est sans compter son côté provocateur avec les autres vampires ou membres des meutes.

Nous continuons d’en apprendre un peu plus sur les fonctionnements politiques et comportementaux des différents lycanthropes (notamment les loups et panthères) ainsi que sur les vampires. J’ai trouvé que l’auteure allait parfois un peu trop loin… Que ça devenait trop, que ça partait trop dans tous les sens.

Côté écriture, il y a vraiment beaucoup de répétitions, c’est assez agaçant.

Oups, en me relisant, je me rends compte que je ne parle que de points négatifs alors que la lecture n’est pas si désagréable que ça. Heureusement, Anita n’a pas toujours un comportement inapproprié ou insupportable. De même, certains points de la politique et du comportement des espèces surnaturelles sont très agréables à découvrir. Pour autant, c’est le dernier tome de cette saga que je lirai.

Pour conclure, un huitième tome sans grand intérêt mais pas désagréable à lire.

L’auteure (présentation de l’éditeur) :

Laurell K. Hamilton est née en 1963 en Arkansas (États-Unis). En 1993 elle crée le personnage d’Anita Blake, auquel elle consacrera un roman chaque année. Portées par un formidable bouche-à-oreille, les aventures de sa tueuse de vampires sont aujourd’hui d’énormes best-sellers.

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La maison d’édition :

Depuis 40 ans, le Club France Loisirs est au service de vos envies. Aujourd’hui, celles-ci évoluent, et votre Club s’adapte pour mieux y répondre. France Loisirs s’engage en faveur de l’épanouissement de ses membres et devient un Club qui stimule l’esprit et sublime le corps. Parce que le corps compte autant que l’esprit, parce que le bonheur s’atteint par l’émotion comme par l’équilibre, France Loisirs s’ouvre au bien-être. Avec des produits et des services qui donnent envie de mieux vivre pour soi et de mieux interagir avec les autres. Stimuler l’esprit et sublimer le corps, voilà la double mission de la marque, pour l’épanouissement de tous. Tout change, rien ne change. Le Club préserve l’excellence de sa sélection et continue de vous proposer des best-sellers, des prix irrésistibles et des cadeaux pour vous faire plaisir. Un choix de produits qui se veut toujours plus riche, dans lequel vous trouverez aussi des compléments alimentaires pour faire le plein d’énergie, des soins raffinés et des moments forts à partager… France Loisirs vous accompagne au quotidien depuis chez vous sur internet, dans ses boutiques et partout grâce au mobile.

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vendredi 26 juin 2015

Un sentiment plus fort que la peur – Marc Levy

Sans être une grande fan, j’apprécie de lire un livre de Marc Levy une fois par an. Par manque de temps ou d’organisation, je n’en ai pas lu l’an dernier du coup, je suis un peu en retard… C’est grâce au choix de Ussy que ce livre est enfin sorti de mon Epal.




Résumé (présentation de l’éditeur) :
Dans l'épave d'un avion emprisonné sous les glaces du mont Blanc, Suzie Baker retrouve le document qui pourrait rendre justice à sa famille accusée de haute trahison. Mais cette découverte compromettante réveille les réseaux parallèles des services secrets américains.
Entraîné par l'énigmatique et fascinante Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme.
Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu'à toucher du doigt l'un des secrets les mieux gardés de notre temps.


Première phrase :
« Aéroport de Bombay, 23 janvier 1966, 3 heures du matin. »


Nombre de pages :
Robert Laffont : 223 pages.


Mon avis :
Comme souvent, je me suis lancée dans cette lecture sans avoir lu le résumé. De ce fait, je ne savais absolument pas dans quoi je m’embarquais.
Je ne m’attendais donc pas à partir dans des secrets de familles et d’Etat. J’ai été un peu surprise au début mais très curieuse de savoir où tout ça allait me mener.

J’ai retrouvé avec plaisir Andrew Stilman, le héros de Si c’était à refaire, le précédent roman de l’auteur. Pour autant, il est tout à fait possible de lire ce livre sans avoir lu le premier. Certes, certains petits points vous sembleront un peu obscurs mais cela ne vous empêchera pas de profiter et de comprendre cette nouvelle enquête. Andrew Stilman est donc un journaliste qui a un peu de mal à se remettre au travail. Ca tombe bien, une enquête va lui arriver sous le nez. J’ai apprécié le personnage même si dans ce roman, ce n’est pas lui le plus important mais surtout l’enquête en elle-même.
Suzie Baker est une jeune femme très mystérieuse. On ne sait que très peu de choses sur elle, on le découvre au fur et à mesure de l’enquête et encore nous ne savons pas tout à la fin du livre. Elle m’a très souvent agacé avec tous ses secrets, les non-dits et sa façon de se servir des autres pour arriver au bout. Attention, elle n’est pas sans cœur mais cela n’empêche pas de triste fin pour certaines personnes qui lui viennent en aide.
D’autres personnages plus ou moins mystérieux sont présents. On retrouve avec grand plaisir l’inspecteur Pilguez, on fait la connaissance de Knopf…

L’histoire de ce roman, nous emmène sur les traces d’une trahison pendant la guerre froide… S’agit-il réellement d’une trahison ou d’autre chose ?
Une chose est sûre, pas le temps de s’ennuyer pendant cette lecture. Je regrette juste que la fin soit si rapide. J’aurais aimé en apprendre plus, savoir ce qu’il allait se passer ensuite pour les deux personnages principaux.

Pour conclure, il s’agit d’une lecture agréable qui se lit rapidement mais je ne pense pas en garder très longtemps souvenir.


L’auteur (présentation de l’éditeur) :

Après avoir passé six ans à la Croix Rouge et dirigé un cabinet d'architectes, Marc Levy publie son premier roman Et si c'était vrai aux Éditions Robert Laffont en 2000. Ce roman connaît un succès immédiat en France ainsi qu'à l'étranger, et est adapté au cinéma en 2005 par Dreamworks.
Il est traduit en 49 langues, et les ventes de tous ses romans ont dépassé les 30 millions d'exemplaires dans le monde.
Marc Levy a co-écrit et réalisé un court métrage pour Amnesty International, La Lettre de Nabila, en 2003, et il a écrit des chansons pour différents artistes dont Johnny Hallyday.

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La maison d’édition :

Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.

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mardi 23 juin 2015

La trilogie italienne, tome 1 : Sur tes yeux – Irène Cao

Acheté lors du Salon du livre de Paris 2014 puisque l’auteure était présente, je l’ai enfin sorti de ma Pal (oui, je sais ça fait plus d’un an que ce salon a eu lieu mais chut).



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Elle n’a encore jamais vraiment aimé.
Lui n’a connu que la face sombre de l’amour.
Venise les réunira dans un voyage des sens étonnant.
Elena a vingt-neuf ans. Restauratrice d’art à Venise, elle se passionne pour son métier et consacre toutes ses journées à la fresque d’un palais de la lagune. Du moins, jusqu’à l’arrivée de Leonardo, un jeune chef cuisinier d’origine sicilienne, venu ouvrir un restaurant dans la Sérénissime. Très vite, Léonardo perce à jour la véritable nature d’Elena : un ange qui cache en lui un démon tourné vers les sens et le plaisir. Un démon que lui seul pourra libérer, mais à une condition : qu’Elena ne tombe jamais amoureuse de lui.


Première phrase :
« Le jaune absorbe la lumière du soleil, vire à l’orange avant de se fondre dans un rouge vif. »


Nombre de pages :
JC Lattès : 379 pages.


Mon avis :
Le résumé m’a quelque peu perturbé. En effet, je m’attendais à un peu de fantastique dans cette lecture puisqu’il était question de démon et d’ange mais finalement il ne s’agit que d’une image. Certains d’entre vous crieront aux spoilers avec cette première phrase mais je pense que j’ai juste mal interprété le résumé et que c’est pour ça que je m’attendais à autre chose.

Dans ce premier tome de La trilogie italienne, nous partons à la découverte de Venise en compagnie d’Elena et de Leonardo.
La première est une jeune femme sérieuse, qui se consacre principalement à son travail de restauratrice d’œuvre d’art. D’ailleurs hormis ces parents, Gaia, sa meilleure amie et Filippo, un ami, elle ne côtoie personne. Tout au long de la lecture, on observe l’épanouissement de cette jeune femme, elle se découvre moralement et physiquement. En même temps que le lecteur, elle apprend à se connaître. Je me suis rapidement attachée à Elena car en plusieurs points, elle pourrait me ressembler.
Leonardo est un jeune chef cuisinier très mystérieux et séduisant. Il ne vit que pour le plaisir, le plaisir charnel mais aussi tous les petits plaisirs qui font partie de la vie comme l’alcool, la nourriture, les autres… On ne connaît pas ce personnage, il est donc difficile de s’attacher à lui mais j’aimerai en savoir plus.
Gaia, Filippo et les quelques autres personnages que nous croisons dans ce roman ne sont là que pour accompagner et servir les aventures de Elena et Leonardo. J’espère qu’on les découvrira un peu plus dans les prochains tomes car ils me plaisent bien, notamment Gaia.

L’histoire en elle-même n’a rien d’inédite quand on est habitué à ce genre de lecture. Très rapidement, on sait comment tout ça va se terminer. La seule chose qu’on ne sait pas c’est comment on va y arriver. La fin est un peu surprenante car elle dérive un petit peu du schéma habituel. Je ne vous en dis pas plus.

La plume de l’auteure ne m’a malheureusement pas transportée. Irène Cao nous fait découvrir Venise mais je n’ai pas réussi à m’imaginer là-bas.
Les émotions des personnages n’ont pas réussi à dépasser l’écriture, je ne les ai pas ressenti, c’est vraiment dommage.
Nous sommes dans une romance où le sexe prend beaucoup de place mais je n’ai pas ressenti d’érotisme ou de sensualité dans toutes les scènes. Il y en a dans certaines mais pas assez à mon goût. La majorité de ces passages sont plats, sans saveur. C’est dommage.

Je lirais certainement le second tome même si ça sera loin d’être une priorité pour moi.

Pour conclure, un personnage féminin qui ressemble aux jeunes femmes d’aujourd’hui, un personnage masculin trop mystérieux, une histoire sympathique mais une plume qui n’est pas assez dans l’émotion. J’ai malgré tout passé un agréable moment de lecture.


L’auteure (présentation de l’éditeur) :

Irène Cao est née à Pordenone en 1979. Elle a fait des études de lettres classiques à Venise, où elle a également soutenu un doctorat en histoire ancienne. Elle vit actuellement dans un petit village du Frioul.

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La maison d’édition :

« Maison d’édition créée en 1968, les éditions JC Lattès sont aujourd’hui dotées d’un catalogue de plus de 1 000 titres. Au fil du temps, les éditions Lattès ont su affirmer une vocation généraliste et maintenir un bon équilibre entre la production française et étrangère ; entre fiction et non-fiction. Les différentes collections ont vu fleurir des auteurs comme Delphine de Vigan, Grégoire Delacourt, Serge Bramly, Maryse Condé, Jean-François Parot, Frédéric Lenormand, pour ne citer que les français, mais aussi James Patterson, Dan Brown, E.L. James, Ake Edwardson pour les étrangers. »

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mercredi 17 juin 2015

Le pays des contes, tome 3 : L’éveil du dragon – Chris Colfer

La saga de Chris Colfer me permet de retourner en enfance en découvrant de nouvelles aventures, plus modernes, des personnages de contes de fées qui m’ont accompagné pendant mon enfance. Ce qui est génial avec Le pays des contes c’est qu’il s’adresse autant aux adolescents qu’aux adultes.



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Depuis que la brèche entre les univers a été refermée, les jumeaux Alex et Conner vivent séparés. Alex continue son apprentissage de la magie, et Conner est un collégien brillant. Lorsque ce dernier découvre qu’une menace séculaire pèse sur le pays des contes, il se lance dans une quête périlleuse à travers l’Europe, prêt à tout pour prévenir ses amis et trouver le portail oublié qui lui permettra de les rejoindre.
Mais le danger que craignait Conner s’avère pire que prévu : une armée piégée entre les deux mondes depuis près de deux cents est soudain libérée. Et avec elle, la seule chose capable de détruire le pays des contes : le dernier œuf de dragon.


Première phrase :
« Tout le monde savait bien pourquoi cette partie de la campagne avait été baptisée la « Forêt-Noire ». »


Nombre de pages :
Michel Lafon : 442 pages.


Mon avis :
Cela fait maintenant plusieurs mois que Alex et Conner vivent chacun dans un univers. De ce fait, la grande majorité du livre nous permet de connaître alternativement ce qui se passe dans le monde réel et ce qui se passe au pays des contes.
Cette configuration permet aux jumeaux d’apprendre à se débrouiller plus ou moins seuls pendant leurs différentes aventures. Ainsi Alex continue à explorer la magie sans la présence de son frère tandis que Conner doit essayer de sauver le pays des contes sans l’aide de sa sœur. Tout repose sur ses épaules.
Evidemment, ils vont chacun rencontrer de nouvelles personnes qui leurs seront d’une grande aide dans leur quête.

A nouveau le pays des contes est danger. Cette fois, la menace ne provient pas seulement de l’intérieur de l’univers. Le monde réel y est pour quelque chose. J’ai aimé que pour une fois, il ne soit pas seulement question de méchants des contes de fées mais que cela ait un lien avec l’Histoire de notre monde. D’ailleurs, cela permet à Conner de découvrir l’Europe. Bien sûr, il y a de nombreux clichés, pas toujours favorables pour nous mais c’est assez drôle.

Ce troisième tome est l’occasion de voir les jumeaux réellement grandis. Ils vont découvrir les sentiments amoureux mais aussi la trahison.
Les nouveaux personnages y sont beaucoup dans l’apparition de ces deux émotions. Concernant la deuxième, j’ai assez rapidement deviné l’identité d’un personnage.
Bien sûr, nous retrouvons les personnages féeriques habituels même si ils sont moins au centre de l’histoire.

Dans les deux précédents tomes, je trouvais que les solutions arrivaient rapidement voire parfois comme un cheveu sur la soupe.Dans ce troisième tome, je n’ai jamais eu cette impression. Je me suis bien plus laissée emporter et questionnée sur les quêtes. J’ai adoré ça.

Pour conclure, un troisième tome passionnant et moins enfantin que les deux précédents. La fin donne vraiment envie de découvrir la suite, de connaître quels vont être les impacts de tout ce qui s’est passé dans ce tome.


L’auteur (présentation de l’éditeur) :

Récompensé par un Golden Globe pour son rôle dans la série Glee, Chris Colfer additionne les talents : acteur, réalisateur, scénariste, c’est aujourd’hui un écrivain reconnu.


La maison d’édition :

Crée en 1980, les éditions Michel Lafon ont un catalogue très diversifié. Elle est distribuée en France mais aussi dans les pays francophones. On peut trouver leurs livres en grandes surfaces ainsi qu’en librairie.

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Merci aux éditions Michel Lafon et à Camille pour leur confiance et l’intérêt qu’ils portent à Ma bibliothèque virtuelle.

jeudi 11 juin 2015

Le château de Walpurgis, tome 1 : Messes et humours noirs – Philippe Duchateau

Intriguée par le résumé et par la couverture, je me suis laissée tenter par cette lecture après avoir visionné la vidéo de présentation de la maison d’édition.



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Josuan reçoit un jour une lettre alarmante d’un de ses vieux copains de classe qui le supplie de venir le rejoindre à Northcalton, où il a de sérieux problèmes. N’écoutant que son courage et porté par la fougue de sa jeunesse, Josuan vole au secours de son ami. Mais la route est longue, et il fait étape dans l’auberge de l’inquiétante Lucy. Il y rencontre la jeune et jolie serveuse, Louisia, et s’en amourache aussitôt. Après avoir quitté l’établissement, Josuan est victime d’un « étrange » accident de voiture. Sa vieille Ford réduite à un tas de tôles, il doit poursuivre le chemin à pied, dans les frimas d’un paysage carnivore. Ses pas le mènent alors au château de Walpurgis. Où l’enfer lui ouvre ses portes.
En effet, les habitants de ce palais délabré se révèlent tous plus loufoques et satanistes les uns que les autres. Mais aussi comiques soient-ils, ces hurluberlus semblent en vouloir pour de bon à la peau de Josuan. Et de Louisia, qui se retrouve – par quelle malédiction ? – bientôt prisonnière, à ses côtés. Comme beaucoup d’autres avant eux, les jeunes gens ne servent qu’à amuser cette galerie de frapadingues, en attendant de finir, selon les projets réjouissants du maître des lieux, au fond d’une oubliette, une cagoule sur la tête et une balle entre les deux yeux. L’amour donne des ailes, dit-on. Les tourtereaux en auraient bien besoin pour s’échapper de cet asile et sauver leur vie.


Première phrase :
« Sur le porphyre rouge des colonnes, les pentagrammes inversés se sont métamorphosés. »


Nombre de pages :
La Bourdonnaye : 327 pages.


Mon avis :
Ne vous attendez pas à une chronique élogieuse, cette fois…

La lecture de ce livre m’a paru très longue, je me suis ennuyée du début à la fin. Aucun évènement n’a su attiser ma curiosité, me donner envie de poursuivre ma lecture. Je n’irais pas jusqu’à dire que ça a été un moment de torture puisque j’ai tout de même terminé le livre mais ce fut loin d’être un moment de plaisir.

Tout d’abord, le résumé en dit beaucoup trop. Il en dit même plus que ce qui se passe dans ce premier tome, car oui, il s’agit d’un livre avec une suite… Plusieurs points abordés dans le résumé n’apparaissent pas dans ce livre ou alors je les ai oubliés.

L’histoire en elle-même est étrange. Il se passe plein de choses, pour autant ce ne sont que des évènements qui ne semblent pas avoir d’importance, pas avoir de réel sens. De ce fait, ils m’ont totalement laissé de marbre.
Je m’attendais à être très rapidement plongée dans l’univers du château de Walpurgis mais non, le départ est très lent. Il y a de nombreux détails dont on pourrait aisément se passer, qui m’ont endormi et m’ont fait perdre de l’intérêt pour l’histoire dès le début.

Les personnages sont assez étranges, spéciaux. En bref, loin d’être ordinaires mais ils sont perdus au milieu de l’histoire. Je n’ai pas réussi à m’attacher à eux. Que ce soit Josuan le héros, ou Louisia la demoiselle en détresse ou encore les méchants habitants du château, je n’ai rien éprouvé pour eux.

La plume de Philippe Duchateau est elle aussi étrange. Il a le goût du détail au risque de perdre son lecteur, d’en oublier l’action. Il a l’habitude de mettre de temps à autre des mots qui sont loin d’être dans le langage courant (merci internet pour certaines définitions). Ce qui m’a le plus dérangé, c’est qu’il nous emmène dans un univers étrange, flippant pour le héros mais en tant que lecteur rien, aucune émotion, aucune inquiétude… Ce qui définit le plus ce roman c’est l’étrangeté.

Ce qui définit le plus ma lecture c’est l’ennui. Je suis désolée mais ça ne l’a vraiment pas fait pour moi.


L’auteur (présentation de l’éditeur) :

Philippe Duchateau fut pilote de chasse dans la Royal Air Force puis pilote d’essai chez Dassault pour le programme Rafale. De là à le classer dans la catégorie des écrivains aviateurs, comme Antoine de Saint-Exupéry, il n’y aurait donc qu’un pas. Mais il se réclame plutôt de Jean Ray pour l’univers romanesque, de Julien Gracq pour la beauté de l’écriture et de Wilkie Collins ou Raymond Chandler pour la qualité des intrigues. Néanmoins, cet admirateur de la littérature romantique et gothique du 19ème siècle, possède bel et bien son propre style, envoûtant dès la première ligne et inimitable, dans lequel il mêle habilement humour, suspense et fantastique.

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La maison d’édition :

Les éditions La Bourdonnaye ont été créées en décembre 2011 par Benoit de La Bourdonnaye. Cette maison d’édition développe « une ligne éditoriale généraliste très vaste autour d’auteurs français dont les styles et les univers illuminent » ses collections.

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mercredi 3 juin 2015

Padre cocaïne – Luc Vénot

J’ai rarement été déçue par les auteurs publiés chez les éditions La Bourdonnaye. Ainsi, lors de la vidéo de présentation des sorties du mois, je me suis laissée tenter par ce livre qui m’avait l’air très original…



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Premier acte : sur ordre du Padre, Corto et Alban chopent Le Marseillais dans le sud du Portugal, où il se terre comme un rat, pour un rapatriement express à Paris.
Deuxième acte : mis en éveil par cette agitation, Figo, flic véreux et sadique, se lance sur la piste des ravisseurs et espère bien remonter jusqu’au parrain pour le faire cracher au bassinet.
Troisième acte : ledit parrain ordonne à Gilles, petit loser toxico, de retrouver sa nan, partie en cavale avec son bien, et de la lui ramener par la peau des fesses.
Quatrième acte : l’Evèque, un tueur en série au top de sa forme, égrènes les cadavres sur son parcours comme autant de chapelets.
Dernier acte : quel est le rapport entre tous ces cinglés qui finissent par se retrouver les uns en face des autres ? Le rapport, c’est que chacun compte emporter le morceau.
Mais voilà, le morceau, Padre cocaïne n’a aucune intention de le lâcher.


Première phrase :
« Midi. »


Nombre de pages :
La Bourdonnaye : 289 pages.


Mon avis :
Voilà une lecture des plus originales. Ici, pas la peine de chercher le gentil et le méchant… Tout n’est pas noir ou blanc mais tout est gris. Celui qu’on imagine être le gentil se retrouve parfois voire même souvent le méchant. Celui qu’on imagine être le méchant n’est finalement pas si méchant que ça. Comment se retrouver dans toute cette histoire ? En se laissant emporter par l’histoire et en s’attachant aux personnages.

Tout commence avec la disparition de drogue et d’argents… Le grand chef alias Padre cocaïne ne peut pas laisser passer ça… Un enlèvement ? Les gendarmes ne peuvent pas laisser passer ça… Il faut retrouver la victime et les ravisseurs…
Le lecteur se retrouver embarquer dans une histoire sans queue ni tête. Enfin, ça c’est l’impression que l’on a début car très rapidement on comprend que tout est lié. Chaque personnage n’est pas là par hasard, il a un rôle un jouer.
En parlant de personnage, ils sont assez nombreux mais cela ne nous empêche pas de nous attacher aux plus récurrents. J’ai adoré Corto sans oublier Alban ou Francis. Une fois de plus, il ne faut pas se fier aux apparences. Non seulement, comme je vous l’ai dit, les méchants ne sont pas ceux que l’on croit mais les moins intelligents ne sont pas ceux qui paraissent les plus bêtes…
Je ne vous en dirais pas plus mais sachez que les personnages de ce roman sont très originaux, très surprenants et très attachants.

Avec une plume tranchante, drôle et sarcastique, Luc Vénot nous emmène dans l’univers de la drogue, de la corruption. Il nous apprend à nous méfier des apparences.

Pour conclure, j’ai passé un moment de lecture très agréable et plein de surprises.


L’auteur (présentation de l’éditeur) :

Pour écrire, Luc Venot puise ses influences dans la musique et le cinéma davantage que dans la littérature : Brazil, Pink Floyd, Voyage au bout de l’enfer, et l’univers de Tarantino ou de Lars von Trier. Son thème de prédilection : chacun fait ce qu’il peut, et c’est déjà beaucoup. Son credo : qui accroît son savoir accroît sa douleur. À partir de là, chacun décide. Savoir et souffrir en silence ou regarder TF1…

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La maison d’édition :

Les éditions La Bourdonnaye ont été créées en décembre 2011 par Benoit de La Bourdonnaye. Cette maison d’édition développe « une ligne éditoriale généraliste très vaste autour d’auteurs français dont les styles et les univers illuminent » ses collections.


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dimanche 31 mai 2015

Petites histoires de familles dans la mythologie – Brigitte Heller

J’adore toutes les histoires liées aux dieux grecques. Je les trouve toujours fascinantes. Je n’ai donc pas hésité une seule seconde lorsque j’ai vu que ce livre était proposé en service presse par Flammarion jeunesse.



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Face aux caprices du destin, dieux et mortels affrontent les mêmes épreuves. Pour mieux comprendre les exploits mais aussi les drames qui touchent les héros de la mythologie, levons le voile sur leurs secrets de famille. Chacun de ses récits nous racontent les joies et les peines des plus illustres d’entre eux.


Première phrase :
« Avez-vous déjà joué au jeu des 7 familles ? »


Nombre de pages :
Flammarion Jeunesse : 116 pages.


Mon avis :
Ce petit livre écrit par Brigitte Heller nous montre une nouvelle facette des dieux grecques et de leurs familles. Au cours de ces quatorze récits, nous découvrons que les dieux ont eux aussi leurs histoires de familles et qu’elles sont bien loin de toujours être roses…

Certains dieux sont mieux lotis que d’autres, ils appartiennent à des familles qui s’aiment. Attention, ce n’est pas pour autant que leurs histoires finissent toujours bien. Et oui, qui dit amour ne dit pas toujours fin heureuse.
Pour d’autres, c’est simple, ils passent leur temps à se quereller, à se déchirer… Parfois ça finit bien, d’autres beaucoup moins bien…
Pour terminer, il y a les malchanceux, ceux qui sont maudits. Quoiqu’ils fassent c’est toujours la galère, ça s’empire toujours.

J’ai aimé le découpage choisi par l’auteure. Ça renforce les similitudes qu’il peut y avoir entre mortels et immortels.
Le choix de faire de cours récits permet au jeune adolescent (ce livre est conseillé à partir de 11 ans) de choisir le lire livre récit par récit ou bien par type de familles.
Le style de Brigitte Heller est tout à fait adapté à l’âge du lecteur mais n’est pas désagréable pour un lecteur plus âgé.

Pour conclure, j’ai apprécié cette petite lecture jeunesse qui nous apprend des choses sur les dieux grecques tout en donnant une explication à certains événements. J’ai notamment beaucoup aimé l’explication de l’existence des saisons.
Une petite lecture que je vous conseille pour voir Zeus, Poséidon ou encore Artémis de façon différentes.


L’auteure (présentation de l’éditeur) :
Brigitte Heller est née en 1956. D’abord rédactrice publicitaire, elle s’est ensuite consacrée pleinement à l’écriture. Elle vit en Auvergne.


La maison d’édition :

« Depuis 1876, les éditions Flammarion perpétuent, en la déployant selon les exigences du monde actuel, la démarche de leur fondateur, Ernest Flammarion, éditeur de Zola, Maupassant et Jules Renard aussi bien que du célèbre Traité d'astronomie populaire, succès fondateur de la Librairie Flammarion, alors située sous les arcades du théâtre de l'Odéon.
Un siècle et demi plus tard, Flammarion est plus que jamais animée par le désir d'explorer et de faire partager tous les arts et tous les savoirs.
La littérature bien sûr, qui vit chez Flammarion sous toutes ses formes et pour tous les publics : romans français et étrangers, mais aussi poésie, théâtre, ou revues littéraires.
L'univers du savoir continue également d'occuper une place de choix : des collections d'essais et documents aux sciences humaines, en passant par nos collections patrimoniales comme GF, Etonnants Classiques et Champs, ou encore la médecine.
Premier éditeur de livres d’art en France, éditeur de référence en matière d'art de vivre et plus récemment de livres illustrés grand public, Flammarion, c’est aussi une longue tradition d'excellence dans le domaine des beaux-livres, qui a su se perpétuer pour parler en images du monde actuel.
Enfin, exigence et accessibilité, tradition et innovation donnent une dynamique originale au secteur Jeunesse de Flammarion, notamment à travers la marque Père Castor.
Cette diversité et ce goût d'allier des dimensions très différentes, donnent son sens profond à l’engagement d’un éditeur à la physionomie unique, qui offre chaque année au public français plus de 500 nouveautés dans les domaines de la Littérature générale, du Savoir, des Beaux Livres, du Pratique et de la Médecine. »

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vendredi 29 mai 2015

Princess Bride – William Goldman

Suite à une discussion avec un lecteur, je me suis laissée convaincre d’acheter la version collector proposée par Bragelonne à l’occasion des 40 ans de chef d’œuvre… Pourtant, quelque chose m’empêchait de me lancer dans cette aventure. J’ai finalement commencé ma lecture…





Résumé (présentation de l’éditeur) :
Il était une fois… la plus belle des aventures, auréolée par le grand amour, le seul, le vrai. Plébiscité par des millions de lecteurs, Princess bride est un livre qui devint un film culte. Un récit de duels à l’épée, de vengeance, de passion et de miracles.
Ce conte intemporel écrit par S. Morgenster – redécouvert et merveilleusement abrégé par William Goldman – est peuplé de personnage aussi inoubliable que Wesley, le beau valet de ferme qui risque sa vie pour la femme qu’il aime ; Inigo Montoya, le bretteur espagnol qui ne vit que pour venger la mort de son père ; et bien sûr, Bouton d’or : la princesse, la femme idéale, la plus belle de toute l’histoire du monde.


Première phrase :
« C’est toujours mon livre préféré au monde. »


Nombre de pages :
Bragelonne : 335 pages.


Mon avis :
Ne vous attendez pas à un avis coup de cœur… En effet, je suis totalement passée à côté de ce livre. Si j’ai d’abord été intrigué par cette histoire bien étrange, je me suis rapidement lassée des interventions de l’auteur ainsi des suppressions de certains passages. De plus, j’ai trouvé les personnages sans grands intérêts et absolument pas travaillés. On ne sait que très peu de choses sur eux ce qui m’a empêché de m’attacher à eux.

Pourquoi est-ce que j’ai été intriguée par l’histoire ? Tout simplement grâce à l’introduction… Je sais bien que généralement c’est un passage plutôt ennuyeux (ce qui a été le cas ici aussi) mais elle permet souvent de comprendre une partie de l’histoire. Cette fois, l’auteur nous explique pourquoi il a eu envie d’abréger ce conte. Il a eu l’air tellement passionné par cette histoire enfant que je ne voyais pas pourquoi je ne le serai pas à mon tour…
Malheureusement, l’histoire part dans tous les sens, il manque de nombreux éléments qui pourraient permettre de mieux comprendre certains passages. En plus, des coupures au sein de l’histoire, l’auteur interromps régulièrement son récit pour nous expliquer pourquoi telle coupure ou pourquoi il a laissé tel passage. Franchement, ça m’a agacé surtout que ces courtes interruptions n’apportent rien du tout au lecteur.
Un deuxième point d’intrigue c’est le fait qu’il s’agisse de la réécriture d’une œuvre ayant bercée l’enfant de l’auteur. Je me suis beaucoup questionnée sur la réalité ou non de ce fait. J’ai tellement douté vers la fin qu’une fois ma lecture terminée, je suis allée vérifiée sur internet car certains points étaient vraiment trop gros…

L’histoire en elle-même n’a rien d’exceptionnelle. Pour un conte, cela manque cruellement de magie, de fée, de fantasie… De plus, il ne se passe rien de spécial, c’est une d’amour et de vengeance assez peu différente des autres.
Par contre, à la fin, on nous propose le premier chapitre du second tome et là c’est beaucoup plus intéressant. On en apprend plus sur certains personnages, il y a plus d’action et plus de suspense. C’est finalement le second tome qui aurait dû être réécrit et pas le premier.

Pour ce qui est des personnages, je vous l’ai dit, je ne me suis pas attachée à eux. On ne sait pas assez de choses sur eux pour avoir l’impression qu’ils font parties de notre vie et c’est un point vraiment important pour moi.

Pour conclure, j’ai le sentiment de ne pas avoir compris l’histoire, d’être passée à côté de certains éléments qui m’auraient fait apprécier ma lecture. Je regrette d’avoir acheté la version collector même si elle va faire très jolie dans ma bibliothèque. Par contre, je tenterai sûrement le film pour voir si j’apprécie plus.


L’auteur (présentation de l’éditeur) :
William Goldman, écrivain et scénariste depuis près de cinquante ans, a remporté deux Oscar et trois récompenses pour l’ensemble de sa carrière.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
sa page Facebook (en anglais)
son site internet (en anglais)


La maison d’édition :
« Fondé par une bande de copains le 1er avril 2000 avec trois fois rien (mais beaucoup de passion), Bragelonne est devenu très vite le premier éditeur francophone des littératures de l’imaginaire, celles qui riment avec évasion, aventure, magie et merveilleux : Fantasy, science-fiction, fantastique...
Maison indépendante, dirigée et animée par des amoureux de cette littérature où l’imagination est toute puissante, Bragelonne propose le catalogue le plus complet et le plus varié dans le domaine de la Fantasy : des classiques, et ceux d’auteurs en passe de devenir, à leur tour, incontournables.
Cette richesse n’est pas seulement l’apanage des auteurs anglo-saxons puisque nous comptons des plumes allemandes, polonaises et, bien sûr, françaises.
Les autres genres ne sont pas en reste grâce aux collections « Bragelonne SF » et « L’Ombre de Bragelonne », chacune réunissant les plus grands. »

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