Livre lu dans le cadre d’un service presse avec les éditions Michel Lafon.
Résumé :
Max Westin. Le sexe incarné. Elle l’a vu, l’a senti au premier coup d’œil. Il est puissant, instinctif. Un être animal. Comme elle l’était avant.
Il retient sa main un peu trop longtemps, et son regard pénétrant lui signifie clairement son intention de la posséder, de la dresser.
Victoria.
Rien qu’un mot, son prénom, mais dit d’une telle manière qu’elle presque sentir la laisse autour de son cou.
C’est dans ta nature, lui murmure-t-il, l’envie d’être dominée…
Ainsi commence leur jeu de séduction. Entre illusions et soumissions, la partie est lancée. Mais quand la passion s’en mêlera, qui de Max ou Victoria portera finalement le collier ?
Première phrase :
« Le chasseur était finalement arrivé. »
Nombre de pages :
Michel Lafon : 269 pages.
Auteure :
Mon avis :
Voilà un petit moment que je n’avais pas lu de romance érotique. La sortie du nouveau Sylvia Day chez Michel Lafon était l’occasion d’y remédier.
Malheureusement, cette lecture est une déception du début à la fin. En effet, qu’il s’agisse de l’univers, des personnages et même du style de l’auteure, je n’ai pris aucun plaisir à lire ce roman. Heureusement, malgré tout, les pages se tournent rapidement. Ainsi, je l’ai lu en quelques heures. Voilà un roman vite lu mais aussi, je l’espère, vite oublié.
L’univers de ce roman est assez flou. Nous sommes dans un univers où les sorciers côtoient les humains. Ces premiers sont divisés en plusieurs classes notamment celle des chasseurs qui ont pour rôle de chasser les déviants. Il y a aussi les familiers qui sont moitié sorcier moitié animal. Je ne vois pas trop pourquoi Sylvia Day a imaginé un tel univers étant qu’elle ne l’exploite pas vraiment. L’histoire aurait aussi bien pu se passer dans le monde d’aujourd’hui cela n’aurait pas fait grande différence.
Côté personnage, à première vue, on l’impression d’avoir à faire à une jeune femme, Victoria, de fort caractère amis on découvre rapidement que ce n’est qu’une façade. Je n’ai pas été séduite par sa personnalité ou par ses actes. Quant au personnage masculin, Max, il semble certes séduisant mais ça s’arrête là. Je n’ai pas eu l’impression qu’il est eu une véritable identité.
La plume de l’auteure, que j’ai jusqu’ici apprécié, m’a déçu. En effet, je l’ai trouvé vulgaire, répétitive. Le livre est divisé en trois parties, je me demande si la version originale n’était pas en trois tomes. Cela pourrait expliquer les répétitions sur les événements entre chaque partie. Quant aux scènes de sexe : où est l’imagination ? Toujours les même, très peu de variantes, on ne ressent aucune émotion…
En bref, un univers sans intérêt, des personnages fades, des scènes de sexe répétitives. Ca n’a vraiment pas pris avec moi mais peut-être aurez-vous plus de chance…
Merci aux éditions Michel Lafon pour leur confiance.
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