Résumé :
Le 2 mars 1998, la jeune Natascha Kampusch va pour la première fois à l’école à pied. Elle est enlevée sur la route par Wolfgang Priklopil, un ingénieur électricien d’une trentaine d’années. Elle réussira à s’échapper après 3096 jours.
Voici le récit de cette captivité terrible : pendant dix ans, elle restera enfermée dans une pièce de 5 mètres carrées, la plupart du temps dans le noir et pendant les six années suivantes elle sera son esclave domestique.
Sous le joug de la violence et surtout d’un terrible harcèlement psychique de son agresseur, elle réussira à résister à sa séquestration et à s’enfuir.
Première phrase :
« Ma mère alluma une cigarette et en inspira une profonde bouffée. »
Genres :
Le 2 mars 1998, la jeune Natascha Kampusch va pour la première fois à l’école à pied. Elle est enlevée sur la route par Wolfgang Priklopil, un ingénieur électricien d’une trentaine d’années. Elle réussira à s’échapper après 3096 jours.
Voici le récit de cette captivité terrible : pendant dix ans, elle restera enfermée dans une pièce de 5 mètres carrées, la plupart du temps dans le noir et pendant les six années suivantes elle sera son esclave domestique.
Sous le joug de la violence et surtout d’un terrible harcèlement psychique de son agresseur, elle réussira à résister à sa séquestration et à s’enfuir.
Première phrase :
« Ma mère alluma une cigarette et en inspira une profonde bouffée. »
Genres :
Autobiographie.
Témoignage.
Nombre de pages :
Le livre de poche : 316 pages.
Auteur :
Natascha Kampusch.
Témoignage.
Nombre de pages :
Le livre de poche : 316 pages.
Auteur :
Natascha Kampusch.
Mon avis :
Je ne suis pas une grande fan de témoignage mais j'apprécie d'en lire de temps en temps. Voilà un bon moment que cela n'a pas été le cas mais grâce à Florel, j'ai pu y remédier.
Avant de commencer à donner mon avis plus ou moins dans le détail, j'aimerais rappeler qu'il s'agit du récit de ce que Natascha Kampusch a réellement vécu et quoique j'en dise, cela n'enlève rien à l'horreur qu'elle a subi pendant ces 3096 jours de captivité. J'ai tenu à rappeler ceci car il est toujours difficile pour moi de chroniquer une histoire vraie : comment dire qu'on a apprécié ou détesté la vie d'une autre personne ?
Dés l'ouverture du livre, j'ai eu une impression assez forte : ce livre est purement commercial. En effet, on nous informe qu'à la fin de chaque chapitre, en scannant le symbole avec notre téléphone portable, nous aurons accès à d'autres éléments de son histoire. Quel intérêt de ne partager ces éléments qu'avec certains lecteurs, pourquoi ne pas mettre, tout simplement, l'adresse des liens ?
Le premier chapitre raconte rapidement son enfance avant l'enlèvement. J'ai eu du mal à croire tout ce qu'elle racontait. Pas parce que c'était trop pour être vrai mais parce que ça sonnait faux pour une petite fille de moins de 8 ans. A partir du second chapitre et cela jusqu'au dernier nous vivons avec elle ces jours de captivité. Il lui a vraiment fallu une volonté de vivre importante. Comment résister à toutes ces horreurs, comment se reconstruire après ça ?
De façon générale, j'ai eu du mal à suivre. Au début, j'ai eu l'impression qu'un ordre chronologique était respecté mais finalement non, ça part dans tous les sens, c'est brouillon. De plus, il est difficile de distinguer les réflexions de la jeune fille lors de sa captivité de celles de la jeune fille qui raconte son enfer quelques années plus tard. J'ai eu aussi, à de nombreux moments, une impression de brodage certainement à cause du mélange des réflexions.
J'essaye de trouver des points positifs mais... Je le rappelle, je ne juge pas ce que Natascha Kampusch a dû supporter mais la façon dont elle le raconte.
En conclusion, je suis plutôt déçue par ma lecture (il en fallait bien une première).
D'autres avis :
Je ne suis pas une grande fan de témoignage mais j'apprécie d'en lire de temps en temps. Voilà un bon moment que cela n'a pas été le cas mais grâce à Florel, j'ai pu y remédier.
Avant de commencer à donner mon avis plus ou moins dans le détail, j'aimerais rappeler qu'il s'agit du récit de ce que Natascha Kampusch a réellement vécu et quoique j'en dise, cela n'enlève rien à l'horreur qu'elle a subi pendant ces 3096 jours de captivité. J'ai tenu à rappeler ceci car il est toujours difficile pour moi de chroniquer une histoire vraie : comment dire qu'on a apprécié ou détesté la vie d'une autre personne ?
Dés l'ouverture du livre, j'ai eu une impression assez forte : ce livre est purement commercial. En effet, on nous informe qu'à la fin de chaque chapitre, en scannant le symbole avec notre téléphone portable, nous aurons accès à d'autres éléments de son histoire. Quel intérêt de ne partager ces éléments qu'avec certains lecteurs, pourquoi ne pas mettre, tout simplement, l'adresse des liens ?
Le premier chapitre raconte rapidement son enfance avant l'enlèvement. J'ai eu du mal à croire tout ce qu'elle racontait. Pas parce que c'était trop pour être vrai mais parce que ça sonnait faux pour une petite fille de moins de 8 ans. A partir du second chapitre et cela jusqu'au dernier nous vivons avec elle ces jours de captivité. Il lui a vraiment fallu une volonté de vivre importante. Comment résister à toutes ces horreurs, comment se reconstruire après ça ?
De façon générale, j'ai eu du mal à suivre. Au début, j'ai eu l'impression qu'un ordre chronologique était respecté mais finalement non, ça part dans tous les sens, c'est brouillon. De plus, il est difficile de distinguer les réflexions de la jeune fille lors de sa captivité de celles de la jeune fille qui raconte son enfer quelques années plus tard. J'ai eu aussi, à de nombreux moments, une impression de brodage certainement à cause du mélange des réflexions.
J'essaye de trouver des points positifs mais... Je le rappelle, je ne juge pas ce que Natascha Kampusch a dû supporter mais la façon dont elle le raconte.
En conclusion, je suis plutôt déçue par ma lecture (il en fallait bien une première).
D'autres avis :
Vous l’avez lu ?
Vous en avez pensé quoi ?
Ben quand je te l'ai pris il me disait, j'avais un eu feuilleté, mais du coup il ne me dit plus rien.
RépondreSupprimerEn effet y'en fallait bien une première.
Biz biz
Décidément, ce livre ne t'aura pas beaucoup plu. J'aimerais le lire par curiosité, mais je dois avouer que je suis moins motivé. ^^'
RépondreSupprimerj'aimerais le lire même avec ton avis négatif mais je pense que je rejoindrais ton avis car c'est déjà l'impression que me donnait ce livre quand on en parlait à la télé.
RépondreSupprimerFlorel : ça t'évitera d'ajouter un livre de plus à ta PAL ;)
RépondreSupprimerAidoku : en effet, il ne m'a vraiment pas plus. Ne t'arrêtes pas à mon avis, d'autres ont surement apprécié.
Endo : je lirais ton avis avec plaisir.
J'ai l'impression que tous le monde pense comme toi de son livre !
RépondreSupprimerDu coup, je ne pense pas que je prendrais le temps de le lire... et puis ce genre de témoignage me fait vraiment froid dans le dos !
Je n'aime pas vraiment ce genre de livre. Peut être que je trouve ça un peu malsain je ne sais pas... je crois que ce n'est pas pour moi... et ton avis me donne encore moins envie de le lire lol Cependant comme tu le dis, ça n'enlève en rien à l'horreur qu'elle a du subir. Je ne sais pas comment on peut se reconstruire après ça...
RépondreSupprimerouch, j'ai eu du mal à laisser ce commentaire, j'ai eu à ruser avec l'ordi (j'avais beau cliquer sur "enregistrer un com, je n'avais pas accès au formulaire :(
RépondreSupprimerbref
euh, oui, effectivement, je ne crois pas que ton avis va m'encourager à réouvrir ce livre tout de suite :(
la phrase qui dit tout? "ce livre est purement commercial".. c'est exactement le sentiment que j'avais eu et qui m'avait poussé à le refermer, car malgré l'horreur vécue, je trouvais qu'il ne passait aucune émotion... ce qui est vraiment déroutant dans un témoignage :(
Le pire c'est que non seulement cette phrase dit tout mais en plus elle résume parfaitement le livre ce qui est vraiment dommage car oui aucune émotion ne passe...
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