Depuis le 1er juillet, je vous attends sur un nouveau blog
vendredi 3 juillet 2015
mercredi 1 juillet 2015
Juin 2015
Nous sommes le 1er juillet, il est donc grand temps de faire le point sur le mois livresque de Juin.
Lecture :
Je suis assez déçue de moi côté quantité. En effet, je n’ai lu que sept livres ce qui est vraiment peu. Côté qualité, une déception et trois avis plutôt mitigés. Le mois de Juin n’est donc pas exceptionnel. Regardons-ça en détail :
Padre cocaïne de Luc Vénot (une lecture pleine de surprises et des personnages attachants)
Le château de Walpurgis de Philippe Duchateau (une lecture qui n’aura pas su m’emporter. Je me suis ennuyée du début à la fin)
De main de maître, tome 2 : L’initiée de Loreile James (un second tome tout aussi agréable que le premier).
Le pays des contes, tome 3 : L’éveil du dragon de Chris Colfer (un troisième tome passionnant et moins enfantin que les deux précédents)
Face cachée, tome 3 : Corps et âme de M. Leighton (une fin de saga qui apporte des réponses mais qui traine un peu en longueur)
La trilogie italienne, tome 1 : Sur tes yeux de Irène Cao (un premier tome en demi-teinte)
Un sentiment plus fort que la peur de Marc Levy (une lecture agréable mais je ne pense pas garde beaucoup de souvenirs de cette lecture)
Une aventure d'Anita Blake, tueuse de vampires, tome 8 : Lune bleue de Laurell K. Hamilton (une lecture sans plus...)
Nouveaux arrivants :
C’est principalement mon Epal qui s’est vu accueillir de nouveaux livres pour autant la Pal n’a pas été délaissée. Malgré ça, aucun achat de ma part.
Cadeau :
Trois amies pour la vie de Ann Brashares
Services presse :
Anouchka de Svetlana Guyot
La ballade des lucioles de J.A. Redmerski (ebook)
Les nuits tentatrices, tome 1 : Péché exquis de Emma Foster (ebook)
Les crèvecoeur, tome 3 : Germain de Antonia Medeiros (ebook)
N’oublie pas de respirer de Charles Sheehan-Miles (ebook)
Un homme s’il vous plait de India Desjardins
PAL :
Forcément, qui dit peu de lecture dit peu de baisse côté Pal. Comme il y a eu en plus pas mal de réception, le résultat ne va pas être fameux.
Malgré tout, la Pal papier a diminué de 1 livre. C’est 61 livres qui attendent patiemment. Côté numérique, c’est un plus 1 soit 21 livres dans mon Epal.
Finalement, ce n’est pas si mal puisqu’il y a toujours 82 livres en attentes de lecture. J’ai réussi à limité les dégâts.
PALM :
Côté papier, c'est super, j'ai lu tout ce qui était prévu. Par contre, côté ebook, il en manque un. Espérons que je fasse mieux en Juillet.
Découvrons ce que je compte lire en Juillet.
Côté ebook, j’aimerai lire :
Les crèvecoeur, tome 3 : Germain de Antonia Medeiros
N’oublie pas de respirer de Charles Sheehan-Miles
La ballade des lucioles de J.A. Redmerski
Les nuits tentatrices, tome 1 : Péché exquis de Emma Foster
Côté papier, j’aimerai lire :
Anouchka, tome 1 : L’automne de Sveltana Guyot
Un homme s’il vous plait de India Desjardins
Charley Davidson, tome 4 : Quatrième tombe au fond de Darynda Jones
C’est elle de Danny Wallace
Bonnes lectures à tous et rendez-vous le mois prochain pour un nouveau bilan.
Encore une petite chose… Je m’arrête ici avec ce blog qui m’a accompagné pendant plus de quatre ans. Une envie d’un nouveau départ qui me trottait dans la tête depuis plusieurs mois. C’est maintenant chose faîte. Je vous donne donc rendez-vous ici dès à présent. J’espère que vous serez nombreux à me suivre là-bas.
Lecture :
Je suis assez déçue de moi côté quantité. En effet, je n’ai lu que sept livres ce qui est vraiment peu. Côté qualité, une déception et trois avis plutôt mitigés. Le mois de Juin n’est donc pas exceptionnel. Regardons-ça en détail :
Padre cocaïne de Luc Vénot (une lecture pleine de surprises et des personnages attachants)
Le château de Walpurgis de Philippe Duchateau (une lecture qui n’aura pas su m’emporter. Je me suis ennuyée du début à la fin)
De main de maître, tome 2 : L’initiée de Loreile James (un second tome tout aussi agréable que le premier).
Le pays des contes, tome 3 : L’éveil du dragon de Chris Colfer (un troisième tome passionnant et moins enfantin que les deux précédents)
Face cachée, tome 3 : Corps et âme de M. Leighton (une fin de saga qui apporte des réponses mais qui traine un peu en longueur)
La trilogie italienne, tome 1 : Sur tes yeux de Irène Cao (un premier tome en demi-teinte)
Un sentiment plus fort que la peur de Marc Levy (une lecture agréable mais je ne pense pas garde beaucoup de souvenirs de cette lecture)
Une aventure d'Anita Blake, tueuse de vampires, tome 8 : Lune bleue de Laurell K. Hamilton (une lecture sans plus...)
Nouveaux arrivants :
C’est principalement mon Epal qui s’est vu accueillir de nouveaux livres pour autant la Pal n’a pas été délaissée. Malgré ça, aucun achat de ma part.
Cadeau :
Trois amies pour la vie de Ann Brashares
Services presse :
Anouchka de Svetlana Guyot
La ballade des lucioles de J.A. Redmerski (ebook)
Les nuits tentatrices, tome 1 : Péché exquis de Emma Foster (ebook)
Les crèvecoeur, tome 3 : Germain de Antonia Medeiros (ebook)
N’oublie pas de respirer de Charles Sheehan-Miles (ebook)
Un homme s’il vous plait de India Desjardins
PAL :
Forcément, qui dit peu de lecture dit peu de baisse côté Pal. Comme il y a eu en plus pas mal de réception, le résultat ne va pas être fameux.
Malgré tout, la Pal papier a diminué de 1 livre. C’est 61 livres qui attendent patiemment. Côté numérique, c’est un plus 1 soit 21 livres dans mon Epal.
Finalement, ce n’est pas si mal puisqu’il y a toujours 82 livres en attentes de lecture. J’ai réussi à limité les dégâts.
PALM :
Côté papier, c'est super, j'ai lu tout ce qui était prévu. Par contre, côté ebook, il en manque un. Espérons que je fasse mieux en Juillet.
Découvrons ce que je compte lire en Juillet.
Côté ebook, j’aimerai lire :
Les crèvecoeur, tome 3 : Germain de Antonia Medeiros
N’oublie pas de respirer de Charles Sheehan-Miles
La ballade des lucioles de J.A. Redmerski
Les nuits tentatrices, tome 1 : Péché exquis de Emma Foster
Côté papier, j’aimerai lire :
Anouchka, tome 1 : L’automne de Sveltana Guyot
Un homme s’il vous plait de India Desjardins
Charley Davidson, tome 4 : Quatrième tombe au fond de Darynda Jones
C’est elle de Danny Wallace
Bonnes lectures à tous et rendez-vous le mois prochain pour un nouveau bilan.
Encore une petite chose… Je m’arrête ici avec ce blog qui m’a accompagné pendant plus de quatre ans. Une envie d’un nouveau départ qui me trottait dans la tête depuis plusieurs mois. C’est maintenant chose faîte. Je vous donne donc rendez-vous ici dès à présent. J’espère que vous serez nombreux à me suivre là-bas.
mardi 30 juin 2015
Une aventure d’Anita Blake, tueuse de vampires, tome 8 : Lune bleue – Laurell K. Hamilton
Voilà bien longtemps que j’avais laissé la bit-lit de côté… Je ne dirais pas que les retrouvailles ont été passionnantes mais elles n’ont pas non plus été détestables.
Résumé (présentation de l’éditeur) :
Richard, mon ex-fiancé et chef de la meute de loups-garous locale, était en train d’étudier les trolls dans le Tennessee quand il a été arrêté… pour tentative de viol. D’accord, nous ne sommes pas en très bons termes depuis que je l’ai plaqué pour Jean-Claude, le vampire qui me courait après depuis une éternité. Mais tout de même, je connais bien Richard. Je sais qu’il ne ferait jamais une chose pareille. Je flaire comme une machination, et déjouer les machinations, c’est mon passe-temps favori quand je ne suis pas en train de relever les morts. Donc, cap sur le Tennessee pour aller délivrer Richard. Le seul problème, c’est que je ne sais pas comment Jean-Claude va réagir. Enfin, quand je dis « le seul problème »… Je suis sûre que ça ne le restera pas longtemps.
Première phrase :
« J’étais en train de rêver de chair froide et de draps couleur de sang frais. »
Nombre de pages :
France loisirs : 654 pages.
Mon avis :
Anita Blake n’est pas mon héroïne de saga bit-lit préférée mais j’apprécie lire de temps à autre ces aventures.
Malheureusement, ce tome-ci n’aura pas su me séduire… Je n’ai pas passé un moment désagréable de lecture mais j’ai souvent été agacée par ce qui se passaient dans ces plus de 600 pages.
L’histoire racontée n’a rien de très passionnante… Richard, le loup-garou, est inculpé de viol. Aussitôt Anita accourt accompagnée de loup-garou, panthère-garou et vampire. Peu à peu, nous découvrirons qu’il s’agit finalement d’une machination pour acheter une propriété qui cacherait dans son sol un objet inestimable.
Il y a beaucoup de bagarre dans ce tome. Parfois trop, certaines scènes sont vraiment de trop.
La romance… Je pensais que maintenant que Anita avait fait son choix entre le vampire et le loup-garou, on allait enfin en avoir terminé avec le triangle amoureux. Et bien non, il est, j’ai l’impression, encore plus présent que dans les précédents tomes.
De plus, le comportement d’Anita est vraiment insupportable. Il faudrait que ses hommes acceptent qu’elle couche avec eux deux mais qu’eux ne voient personnes d’autres. Désolée mais soit on assume sa polygamie soit on reste monogame soit même. C’est sans compter son côté provocateur avec les autres vampires ou membres des meutes.
Nous continuons d’en apprendre un peu plus sur les fonctionnements politiques et comportementaux des différents lycanthropes (notamment les loups et panthères) ainsi que sur les vampires. J’ai trouvé que l’auteure allait parfois un peu trop loin… Que ça devenait trop, que ça partait trop dans tous les sens.
Côté écriture, il y a vraiment beaucoup de répétitions, c’est assez agaçant.
Oups, en me relisant, je me rends compte que je ne parle que de points négatifs alors que la lecture n’est pas si désagréable que ça. Heureusement, Anita n’a pas toujours un comportement inapproprié ou insupportable. De même, certains points de la politique et du comportement des espèces surnaturelles sont très agréables à découvrir. Pour autant, c’est le dernier tome de cette saga que je lirai.
Pour conclure, un huitième tome sans grand intérêt mais pas désagréable à lire.
L’auteure (présentation de l’éditeur) :
Laurell K. Hamilton est née en 1963 en Arkansas (États-Unis). En 1993 elle crée le personnage d’Anita Blake, auquel elle consacrera un roman chaque année. Portées par un formidable bouche-à-oreille, les aventures de sa tueuse de vampires sont aujourd’hui d’énormes best-sellers.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
sa page Facebook (en anglais)
son site internet (en anglais)
La maison d’édition :
Depuis 40 ans, le Club France Loisirs est au service de vos envies. Aujourd’hui, celles-ci évoluent, et votre Club s’adapte pour mieux y répondre. France Loisirs s’engage en faveur de l’épanouissement de ses membres et devient un Club qui stimule l’esprit et sublime le corps. Parce que le corps compte autant que l’esprit, parce que le bonheur s’atteint par l’émotion comme par l’équilibre, France Loisirs s’ouvre au bien-être. Avec des produits et des services qui donnent envie de mieux vivre pour soi et de mieux interagir avec les autres. Stimuler l’esprit et sublimer le corps, voilà la double mission de la marque, pour l’épanouissement de tous. Tout change, rien ne change. Le Club préserve l’excellence de sa sélection et continue de vous proposer des best-sellers, des prix irrésistibles et des cadeaux pour vous faire plaisir. Un choix de produits qui se veut toujours plus riche, dans lequel vous trouverez aussi des compléments alimentaires pour faire le plein d’énergie, des soins raffinés et des moments forts à partager… France Loisirs vous accompagne au quotidien depuis chez vous sur internet, dans ses boutiques et partout grâce au mobile.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
la page Facebook
le site internet
Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez :
Résumé (présentation de l’éditeur) :
Richard, mon ex-fiancé et chef de la meute de loups-garous locale, était en train d’étudier les trolls dans le Tennessee quand il a été arrêté… pour tentative de viol. D’accord, nous ne sommes pas en très bons termes depuis que je l’ai plaqué pour Jean-Claude, le vampire qui me courait après depuis une éternité. Mais tout de même, je connais bien Richard. Je sais qu’il ne ferait jamais une chose pareille. Je flaire comme une machination, et déjouer les machinations, c’est mon passe-temps favori quand je ne suis pas en train de relever les morts. Donc, cap sur le Tennessee pour aller délivrer Richard. Le seul problème, c’est que je ne sais pas comment Jean-Claude va réagir. Enfin, quand je dis « le seul problème »… Je suis sûre que ça ne le restera pas longtemps.
Première phrase :
« J’étais en train de rêver de chair froide et de draps couleur de sang frais. »
Nombre de pages :
France loisirs : 654 pages.
Mon avis :
Anita Blake n’est pas mon héroïne de saga bit-lit préférée mais j’apprécie lire de temps à autre ces aventures.
Malheureusement, ce tome-ci n’aura pas su me séduire… Je n’ai pas passé un moment désagréable de lecture mais j’ai souvent été agacée par ce qui se passaient dans ces plus de 600 pages.
L’histoire racontée n’a rien de très passionnante… Richard, le loup-garou, est inculpé de viol. Aussitôt Anita accourt accompagnée de loup-garou, panthère-garou et vampire. Peu à peu, nous découvrirons qu’il s’agit finalement d’une machination pour acheter une propriété qui cacherait dans son sol un objet inestimable.
Il y a beaucoup de bagarre dans ce tome. Parfois trop, certaines scènes sont vraiment de trop.
La romance… Je pensais que maintenant que Anita avait fait son choix entre le vampire et le loup-garou, on allait enfin en avoir terminé avec le triangle amoureux. Et bien non, il est, j’ai l’impression, encore plus présent que dans les précédents tomes.
De plus, le comportement d’Anita est vraiment insupportable. Il faudrait que ses hommes acceptent qu’elle couche avec eux deux mais qu’eux ne voient personnes d’autres. Désolée mais soit on assume sa polygamie soit on reste monogame soit même. C’est sans compter son côté provocateur avec les autres vampires ou membres des meutes.
Nous continuons d’en apprendre un peu plus sur les fonctionnements politiques et comportementaux des différents lycanthropes (notamment les loups et panthères) ainsi que sur les vampires. J’ai trouvé que l’auteure allait parfois un peu trop loin… Que ça devenait trop, que ça partait trop dans tous les sens.
Côté écriture, il y a vraiment beaucoup de répétitions, c’est assez agaçant.
Oups, en me relisant, je me rends compte que je ne parle que de points négatifs alors que la lecture n’est pas si désagréable que ça. Heureusement, Anita n’a pas toujours un comportement inapproprié ou insupportable. De même, certains points de la politique et du comportement des espèces surnaturelles sont très agréables à découvrir. Pour autant, c’est le dernier tome de cette saga que je lirai.
Pour conclure, un huitième tome sans grand intérêt mais pas désagréable à lire.
L’auteure (présentation de l’éditeur) :
Laurell K. Hamilton est née en 1963 en Arkansas (États-Unis). En 1993 elle crée le personnage d’Anita Blake, auquel elle consacrera un roman chaque année. Portées par un formidable bouche-à-oreille, les aventures de sa tueuse de vampires sont aujourd’hui d’énormes best-sellers.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
sa page Facebook (en anglais)
son site internet (en anglais)
La maison d’édition :
Depuis 40 ans, le Club France Loisirs est au service de vos envies. Aujourd’hui, celles-ci évoluent, et votre Club s’adapte pour mieux y répondre. France Loisirs s’engage en faveur de l’épanouissement de ses membres et devient un Club qui stimule l’esprit et sublime le corps. Parce que le corps compte autant que l’esprit, parce que le bonheur s’atteint par l’émotion comme par l’équilibre, France Loisirs s’ouvre au bien-être. Avec des produits et des services qui donnent envie de mieux vivre pour soi et de mieux interagir avec les autres. Stimuler l’esprit et sublimer le corps, voilà la double mission de la marque, pour l’épanouissement de tous. Tout change, rien ne change. Le Club préserve l’excellence de sa sélection et continue de vous proposer des best-sellers, des prix irrésistibles et des cadeaux pour vous faire plaisir. Un choix de produits qui se veut toujours plus riche, dans lequel vous trouverez aussi des compléments alimentaires pour faire le plein d’énergie, des soins raffinés et des moments forts à partager… France Loisirs vous accompagne au quotidien depuis chez vous sur internet, dans ses boutiques et partout grâce au mobile.
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vendredi 26 juin 2015
Un sentiment plus fort que la peur – Marc Levy
Sans être une grande fan, j’apprécie de lire un livre de Marc Levy une fois par an. Par manque de temps ou d’organisation, je n’en ai pas lu l’an dernier du coup, je suis un peu en retard… C’est grâce au choix de Ussy que ce livre est enfin sorti de mon Epal.
Résumé (présentation de l’éditeur) :
Dans l'épave d'un avion emprisonné sous les glaces du mont Blanc, Suzie Baker retrouve le document qui pourrait rendre justice à sa famille accusée de haute trahison. Mais cette découverte compromettante réveille les réseaux parallèles des services secrets américains.
Entraîné par l'énigmatique et fascinante Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme.
Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu'à toucher du doigt l'un des secrets les mieux gardés de notre temps.
Première phrase :
« Aéroport de Bombay, 23 janvier 1966, 3 heures du matin. »
Nombre de pages :
Robert Laffont : 223 pages.
Mon avis :
Comme souvent, je me suis lancée dans cette lecture sans avoir lu le résumé. De ce fait, je ne savais absolument pas dans quoi je m’embarquais.
Je ne m’attendais donc pas à partir dans des secrets de familles et d’Etat. J’ai été un peu surprise au début mais très curieuse de savoir où tout ça allait me mener.
J’ai retrouvé avec plaisir Andrew Stilman, le héros de Si c’était à refaire, le précédent roman de l’auteur. Pour autant, il est tout à fait possible de lire ce livre sans avoir lu le premier. Certes, certains petits points vous sembleront un peu obscurs mais cela ne vous empêchera pas de profiter et de comprendre cette nouvelle enquête. Andrew Stilman est donc un journaliste qui a un peu de mal à se remettre au travail. Ca tombe bien, une enquête va lui arriver sous le nez. J’ai apprécié le personnage même si dans ce roman, ce n’est pas lui le plus important mais surtout l’enquête en elle-même.
Suzie Baker est une jeune femme très mystérieuse. On ne sait que très peu de choses sur elle, on le découvre au fur et à mesure de l’enquête et encore nous ne savons pas tout à la fin du livre. Elle m’a très souvent agacé avec tous ses secrets, les non-dits et sa façon de se servir des autres pour arriver au bout. Attention, elle n’est pas sans cœur mais cela n’empêche pas de triste fin pour certaines personnes qui lui viennent en aide.
D’autres personnages plus ou moins mystérieux sont présents. On retrouve avec grand plaisir l’inspecteur Pilguez, on fait la connaissance de Knopf…
L’histoire de ce roman, nous emmène sur les traces d’une trahison pendant la guerre froide… S’agit-il réellement d’une trahison ou d’autre chose ?
Une chose est sûre, pas le temps de s’ennuyer pendant cette lecture. Je regrette juste que la fin soit si rapide. J’aurais aimé en apprendre plus, savoir ce qu’il allait se passer ensuite pour les deux personnages principaux.
Pour conclure, il s’agit d’une lecture agréable qui se lit rapidement mais je ne pense pas en garder très longtemps souvenir.
L’auteur (présentation de l’éditeur) :
Après avoir passé six ans à la Croix Rouge et dirigé un cabinet d'architectes, Marc Levy publie son premier roman Et si c'était vrai aux Éditions Robert Laffont en 2000. Ce roman connaît un succès immédiat en France ainsi qu'à l'étranger, et est adapté au cinéma en 2005 par Dreamworks.
Il est traduit en 49 langues, et les ventes de tous ses romans ont dépassé les 30 millions d'exemplaires dans le monde.
Marc Levy a co-écrit et réalisé un court métrage pour Amnesty International, La Lettre de Nabila, en 2003, et il a écrit des chansons pour différents artistes dont Johnny Hallyday.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
sa page Facebook
son site internet
La maison d’édition :
Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
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le site internet
Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez :
Résumé (présentation de l’éditeur) :
Dans l'épave d'un avion emprisonné sous les glaces du mont Blanc, Suzie Baker retrouve le document qui pourrait rendre justice à sa famille accusée de haute trahison. Mais cette découverte compromettante réveille les réseaux parallèles des services secrets américains.
Entraîné par l'énigmatique et fascinante Suzie Baker, Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, mène une enquête devenue indispensable à la survie de la jeune femme.
Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions jusqu'à toucher du doigt l'un des secrets les mieux gardés de notre temps.
Première phrase :
« Aéroport de Bombay, 23 janvier 1966, 3 heures du matin. »
Nombre de pages :
Robert Laffont : 223 pages.
Mon avis :
Comme souvent, je me suis lancée dans cette lecture sans avoir lu le résumé. De ce fait, je ne savais absolument pas dans quoi je m’embarquais.
Je ne m’attendais donc pas à partir dans des secrets de familles et d’Etat. J’ai été un peu surprise au début mais très curieuse de savoir où tout ça allait me mener.
J’ai retrouvé avec plaisir Andrew Stilman, le héros de Si c’était à refaire, le précédent roman de l’auteur. Pour autant, il est tout à fait possible de lire ce livre sans avoir lu le premier. Certes, certains petits points vous sembleront un peu obscurs mais cela ne vous empêchera pas de profiter et de comprendre cette nouvelle enquête. Andrew Stilman est donc un journaliste qui a un peu de mal à se remettre au travail. Ca tombe bien, une enquête va lui arriver sous le nez. J’ai apprécié le personnage même si dans ce roman, ce n’est pas lui le plus important mais surtout l’enquête en elle-même.
Suzie Baker est une jeune femme très mystérieuse. On ne sait que très peu de choses sur elle, on le découvre au fur et à mesure de l’enquête et encore nous ne savons pas tout à la fin du livre. Elle m’a très souvent agacé avec tous ses secrets, les non-dits et sa façon de se servir des autres pour arriver au bout. Attention, elle n’est pas sans cœur mais cela n’empêche pas de triste fin pour certaines personnes qui lui viennent en aide.
D’autres personnages plus ou moins mystérieux sont présents. On retrouve avec grand plaisir l’inspecteur Pilguez, on fait la connaissance de Knopf…
L’histoire de ce roman, nous emmène sur les traces d’une trahison pendant la guerre froide… S’agit-il réellement d’une trahison ou d’autre chose ?
Une chose est sûre, pas le temps de s’ennuyer pendant cette lecture. Je regrette juste que la fin soit si rapide. J’aurais aimé en apprendre plus, savoir ce qu’il allait se passer ensuite pour les deux personnages principaux.
Pour conclure, il s’agit d’une lecture agréable qui se lit rapidement mais je ne pense pas en garder très longtemps souvenir.
L’auteur (présentation de l’éditeur) :
Après avoir passé six ans à la Croix Rouge et dirigé un cabinet d'architectes, Marc Levy publie son premier roman Et si c'était vrai aux Éditions Robert Laffont en 2000. Ce roman connaît un succès immédiat en France ainsi qu'à l'étranger, et est adapté au cinéma en 2005 par Dreamworks.
Il est traduit en 49 langues, et les ventes de tous ses romans ont dépassé les 30 millions d'exemplaires dans le monde.
Marc Levy a co-écrit et réalisé un court métrage pour Amnesty International, La Lettre de Nabila, en 2003, et il a écrit des chansons pour différents artistes dont Johnny Hallyday.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
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La maison d’édition :
Les Éditions Robert Laffont publient de la littérature française et étrangère, des biographies, des témoignages, des mémoires, des romans policiers et d'espionnage, des livres de spiritualité ou encore des livres pratiques.
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mardi 23 juin 2015
La trilogie italienne, tome 1 : Sur tes yeux – Irène Cao
Acheté lors du Salon du livre de Paris 2014 puisque l’auteure était présente, je l’ai enfin sorti de ma Pal (oui, je sais ça fait plus d’un an que ce salon a eu lieu mais chut).
Résumé (présentation de l’éditeur) :
Elle n’a encore jamais vraiment aimé.
Lui n’a connu que la face sombre de l’amour.
Venise les réunira dans un voyage des sens étonnant.
Elena a vingt-neuf ans. Restauratrice d’art à Venise, elle se passionne pour son métier et consacre toutes ses journées à la fresque d’un palais de la lagune. Du moins, jusqu’à l’arrivée de Leonardo, un jeune chef cuisinier d’origine sicilienne, venu ouvrir un restaurant dans la Sérénissime. Très vite, Léonardo perce à jour la véritable nature d’Elena : un ange qui cache en lui un démon tourné vers les sens et le plaisir. Un démon que lui seul pourra libérer, mais à une condition : qu’Elena ne tombe jamais amoureuse de lui.
Première phrase :
« Le jaune absorbe la lumière du soleil, vire à l’orange avant de se fondre dans un rouge vif. »
Nombre de pages :
JC Lattès : 379 pages.
Mon avis :
Le résumé m’a quelque peu perturbé. En effet, je m’attendais à un peu de fantastique dans cette lecture puisqu’il était question de démon et d’ange mais finalement il ne s’agit que d’une image. Certains d’entre vous crieront aux spoilers avec cette première phrase mais je pense que j’ai juste mal interprété le résumé et que c’est pour ça que je m’attendais à autre chose.
Dans ce premier tome de La trilogie italienne, nous partons à la découverte de Venise en compagnie d’Elena et de Leonardo.
La première est une jeune femme sérieuse, qui se consacre principalement à son travail de restauratrice d’œuvre d’art. D’ailleurs hormis ces parents, Gaia, sa meilleure amie et Filippo, un ami, elle ne côtoie personne. Tout au long de la lecture, on observe l’épanouissement de cette jeune femme, elle se découvre moralement et physiquement. En même temps que le lecteur, elle apprend à se connaître. Je me suis rapidement attachée à Elena car en plusieurs points, elle pourrait me ressembler.
Leonardo est un jeune chef cuisinier très mystérieux et séduisant. Il ne vit que pour le plaisir, le plaisir charnel mais aussi tous les petits plaisirs qui font partie de la vie comme l’alcool, la nourriture, les autres… On ne connaît pas ce personnage, il est donc difficile de s’attacher à lui mais j’aimerai en savoir plus.
Gaia, Filippo et les quelques autres personnages que nous croisons dans ce roman ne sont là que pour accompagner et servir les aventures de Elena et Leonardo. J’espère qu’on les découvrira un peu plus dans les prochains tomes car ils me plaisent bien, notamment Gaia.
L’histoire en elle-même n’a rien d’inédite quand on est habitué à ce genre de lecture. Très rapidement, on sait comment tout ça va se terminer. La seule chose qu’on ne sait pas c’est comment on va y arriver. La fin est un peu surprenante car elle dérive un petit peu du schéma habituel. Je ne vous en dis pas plus.
La plume de l’auteure ne m’a malheureusement pas transportée. Irène Cao nous fait découvrir Venise mais je n’ai pas réussi à m’imaginer là-bas.
Les émotions des personnages n’ont pas réussi à dépasser l’écriture, je ne les ai pas ressenti, c’est vraiment dommage.
Nous sommes dans une romance où le sexe prend beaucoup de place mais je n’ai pas ressenti d’érotisme ou de sensualité dans toutes les scènes. Il y en a dans certaines mais pas assez à mon goût. La majorité de ces passages sont plats, sans saveur. C’est dommage.
Je lirais certainement le second tome même si ça sera loin d’être une priorité pour moi.
Pour conclure, un personnage féminin qui ressemble aux jeunes femmes d’aujourd’hui, un personnage masculin trop mystérieux, une histoire sympathique mais une plume qui n’est pas assez dans l’émotion. J’ai malgré tout passé un agréable moment de lecture.
L’auteure (présentation de l’éditeur) :
Irène Cao est née à Pordenone en 1979. Elle a fait des études de lettres classiques à Venise, où elle a également soutenu un doctorat en histoire ancienne. Elle vit actuellement dans un petit village du Frioul.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
son site internet (en italien)
sa page Facebook (en italien)
La maison d’édition :
« Maison d’édition créée en 1968, les éditions JC Lattès sont aujourd’hui dotées d’un catalogue de plus de 1 000 titres. Au fil du temps, les éditions Lattès ont su affirmer une vocation généraliste et maintenir un bon équilibre entre la production française et étrangère ; entre fiction et non-fiction. Les différentes collections ont vu fleurir des auteurs comme Delphine de Vigan, Grégoire Delacourt, Serge Bramly, Maryse Condé, Jean-François Parot, Frédéric Lenormand, pour ne citer que les français, mais aussi James Patterson, Dan Brown, E.L. James, Ake Edwardson pour les étrangers. »
Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
la page Facebook
le site internet
Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez :
Résumé (présentation de l’éditeur) :
Elle n’a encore jamais vraiment aimé.
Lui n’a connu que la face sombre de l’amour.
Venise les réunira dans un voyage des sens étonnant.
Elena a vingt-neuf ans. Restauratrice d’art à Venise, elle se passionne pour son métier et consacre toutes ses journées à la fresque d’un palais de la lagune. Du moins, jusqu’à l’arrivée de Leonardo, un jeune chef cuisinier d’origine sicilienne, venu ouvrir un restaurant dans la Sérénissime. Très vite, Léonardo perce à jour la véritable nature d’Elena : un ange qui cache en lui un démon tourné vers les sens et le plaisir. Un démon que lui seul pourra libérer, mais à une condition : qu’Elena ne tombe jamais amoureuse de lui.
Première phrase :
« Le jaune absorbe la lumière du soleil, vire à l’orange avant de se fondre dans un rouge vif. »
Nombre de pages :
JC Lattès : 379 pages.
Mon avis :
Le résumé m’a quelque peu perturbé. En effet, je m’attendais à un peu de fantastique dans cette lecture puisqu’il était question de démon et d’ange mais finalement il ne s’agit que d’une image. Certains d’entre vous crieront aux spoilers avec cette première phrase mais je pense que j’ai juste mal interprété le résumé et que c’est pour ça que je m’attendais à autre chose.
Dans ce premier tome de La trilogie italienne, nous partons à la découverte de Venise en compagnie d’Elena et de Leonardo.
La première est une jeune femme sérieuse, qui se consacre principalement à son travail de restauratrice d’œuvre d’art. D’ailleurs hormis ces parents, Gaia, sa meilleure amie et Filippo, un ami, elle ne côtoie personne. Tout au long de la lecture, on observe l’épanouissement de cette jeune femme, elle se découvre moralement et physiquement. En même temps que le lecteur, elle apprend à se connaître. Je me suis rapidement attachée à Elena car en plusieurs points, elle pourrait me ressembler.
Leonardo est un jeune chef cuisinier très mystérieux et séduisant. Il ne vit que pour le plaisir, le plaisir charnel mais aussi tous les petits plaisirs qui font partie de la vie comme l’alcool, la nourriture, les autres… On ne connaît pas ce personnage, il est donc difficile de s’attacher à lui mais j’aimerai en savoir plus.
Gaia, Filippo et les quelques autres personnages que nous croisons dans ce roman ne sont là que pour accompagner et servir les aventures de Elena et Leonardo. J’espère qu’on les découvrira un peu plus dans les prochains tomes car ils me plaisent bien, notamment Gaia.
L’histoire en elle-même n’a rien d’inédite quand on est habitué à ce genre de lecture. Très rapidement, on sait comment tout ça va se terminer. La seule chose qu’on ne sait pas c’est comment on va y arriver. La fin est un peu surprenante car elle dérive un petit peu du schéma habituel. Je ne vous en dis pas plus.
La plume de l’auteure ne m’a malheureusement pas transportée. Irène Cao nous fait découvrir Venise mais je n’ai pas réussi à m’imaginer là-bas.
Les émotions des personnages n’ont pas réussi à dépasser l’écriture, je ne les ai pas ressenti, c’est vraiment dommage.
Nous sommes dans une romance où le sexe prend beaucoup de place mais je n’ai pas ressenti d’érotisme ou de sensualité dans toutes les scènes. Il y en a dans certaines mais pas assez à mon goût. La majorité de ces passages sont plats, sans saveur. C’est dommage.
Je lirais certainement le second tome même si ça sera loin d’être une priorité pour moi.
Pour conclure, un personnage féminin qui ressemble aux jeunes femmes d’aujourd’hui, un personnage masculin trop mystérieux, une histoire sympathique mais une plume qui n’est pas assez dans l’émotion. J’ai malgré tout passé un agréable moment de lecture.
L’auteure (présentation de l’éditeur) :
Irène Cao est née à Pordenone en 1979. Elle a fait des études de lettres classiques à Venise, où elle a également soutenu un doctorat en histoire ancienne. Elle vit actuellement dans un petit village du Frioul.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
son site internet (en italien)
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La maison d’édition :
« Maison d’édition créée en 1968, les éditions JC Lattès sont aujourd’hui dotées d’un catalogue de plus de 1 000 titres. Au fil du temps, les éditions Lattès ont su affirmer une vocation généraliste et maintenir un bon équilibre entre la production française et étrangère ; entre fiction et non-fiction. Les différentes collections ont vu fleurir des auteurs comme Delphine de Vigan, Grégoire Delacourt, Serge Bramly, Maryse Condé, Jean-François Parot, Frédéric Lenormand, pour ne citer que les français, mais aussi James Patterson, Dan Brown, E.L. James, Ake Edwardson pour les étrangers. »
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