mardi 31 mars 2015

Facebook m’a tuer – Alexandre des Isnards et Thomas Zuber

Dans ma Pal depuis plus de deux ans, j’avais très envie de le lire depuis plusieurs mois mais le manque de temps me faisait repousser la lecture. C’est maintenant chose faîte et j’en suis très contente.




Résumé (présentation de l’éditeur) :
Facebook n'est pas un site Internet. C'est un mode de vie. Réseaux sociaux, sites de rencontres en ligne, jeux en réseau, tchats, smartphone : qu'on le veuille ou non, ces techniques créent de nouvelles habitudes qui révolutionnent nos relations amicales, amoureuses et familiales.
Hier, une soirée privée était privée. Aujourd'hui, vos proches sont tous devenus photoreporters, prêts à publier les photos les plus « délire » de votre crémaillère ou de votre anniversaire. Hier, on pouvait dîner à deux. Aujourd'hui, on ne peut dîner qu'à quatre (vous, lui ou elle, vos deux portables).
Hier, une naissance ou un week-end en amoureux étaient des moments intimes. Aujourd'hui, la génération transparente en fait la chronique sur Internet parce que c'est mignon, parce qu'il n'y a rien à cacher, parce que tout le monde le fait.
On arrête là, vous avez compris. Facebook – plus de 600 millions d'utilisateurs dans le monde, dont 20 millions en France – n'est pas qu'un site Internet. C'est devenu un mode de vie. Soyons transparents ! Soyons « fun » ! Et surtout… restons connectés ! Réseaux sociaux, tchats, e-mails, SMS, jeux en réseau, géolocalisations, rencontres en ligne : la « culture Facebook » gagne toutes les générations et bouleverse nos relations amicales, familiales ou amoureuses. Sans qu’on s'en rende toujours compte. Mais à la vitesse du numérique.
Fidèles à la méthode qui a fait leur succès, Alexandre des Isnards et Thomas Zuber ont rassemblé leurs expériences et celles de leurs proches dans des saynètes truculentes, aussi drôles qu'inquiétantes.


Première phrase :
« Avec L’Open space m’a tuer, des proches et des moins proches nous ont raconté leurs histoires de bureau. »


Nombre de pages :
NIL : 186 pages.


Mon avis :
Voilà un livre dans lequel chacun d’entre nous va se retrouver. Certes, on ne s’identifie pas à tous les chapitres mais si vous lisez ce livre et me dîtes que non vous ne vous vous être vu nulle part, soit vous mentez soit vous vivez dans un autre univers ou à une autre époque…

Dans ce petit essai de moins de 200 pages, les auteurs n’abordent pas seulement la place de Facebook dans notre vie mais plus généralement celle d’internet avec bien sûr Facebook mais aussi Twitter tout comme les sites de rencontres et les différentes applications disponibles sur nos smartphones. Peut-être qu’un autre titre aurait été plus adapté car même si Facebook est très présents il n’est pas l’unique sujet.
C’est donc de la virtualité et de la connectivité dont il est question dans ce livre. Quelles places ont-elles dans notre vie quotidienne, quelles incidences sur nos relations familiales, amicales et amoureuses ?

A aucun moment, je ne me suis ennuyée pendant la lecture. Tout d’abord parce que les pages tournent rapidement toute seules, ensuite parce que le sujet est vraiment très intéressant et bien traité. Pour finir, la mise en scène de personnes pour expliquer rend la lecture réaliste et m’a permis de me reconnaître ou de reconnaître certains amis/contacts.

Pour conclure, j’ai passé un agréable moment de lecture pendant lequel j’ai souvent souri.


Les auteurs (présentation de l’éditeur) :

Alexandre des Isnards et Thomas Zuber, 37 ans, diplomés de Sciences-Po, sont consultants.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
leur site internet


La maison d’édition (site internet) :

« Créée en 1993 par Nicole Lattès, NiL est une petite maison généraliste à forte personnalité qui a rapidement imposé son style dans des domaines aussi variés que celui des documents politiques (Jacques Chirac), des essais (Jean-François Revel, Mathieu Ricard, Axel Kahn), des livres de société (Peter Mayle, Stephen Clarke, Ayan Hirsi Ali), de la littérature française (Jean d’Ormesson, Sophie Fontanel, Jean-Paul Kaufmann ou encore Annie Ernaux et Bruno Tessarech dans la collection « Les affranchis ») ou étrangère (Peter Mayle, Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, Alice Sebold, Mark Haddon).
Cette « petite généraliste » ne se pose pas la question des genres et défend avec passion les regards d’auteurs originaux. Avec une vingtaine de titres par an, elle entend raconter notre époque de la façon la plus attirante pour les lecteurs. »
Elle appartient au groupe Robert Laffont.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
la page Facebook
le site internet


Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez : 




lundi 30 mars 2015

Pas de mensonges entre nous – Stacey Lynn

Je suis dans ma période besoin d’amour… Quoi de mieux que de la romance pour combler ce manque ? C’est aussi l’occasion pour moi de rattraper mon retard dans les publications de Milady romance.



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Toute vérité est bonne à dire…
En plus d’être séduisant, Jack est à la tête d’une multinationale. Toutes les femmes rêvent d’en faire leur mari, mais ce célibataire endurci revoit rarement ses conquêtes après le troisième rendez-vous. Voilà cinq ans qu’Emma est au service de Jack. Lorsqu’il l’a recrutée, elle était enceinte, et le père de son enfant l’avait abandonnée. Depuis cette trahison, Emma se méfie des hommes… mais Jack a de quoi la faire changer d’avis. Lorsqu’ils finissent par admettre l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, l’ancien compagnon d’Emma refait surface. Il veut passer du temps avec son fils, et rêve de recoller les morceaux avec son ex. Emma n’a que l’embarras du choix…


Première phrase :
« Je chantais en chœur avec la musique diffusée par la station d’accueil de la cuisine tout en faisant revenir du choux chinois dans une poêle. »


Nombre de pages :
Milady : 260 pages.


Mon avis :
Est-ce que c’était la romance de trop pour moi ? Je ne sais pas mais bien que la lecture n’ai pas été désagréable je me suis plutôt ennuyée dans cette histoire d’amour où de nombreuses choses sonnent fausses. Et oui, j’aime que les romances que je lis me permettent d’espérer un jour de vivre quelque chose dans le même genre.

Sans trop savoir pourquoi, Jack se décide enfin à dévoiler les sentiments qu’il ressent depuis cinq ans pour son assistante personnelle, Emma. Bien sûr, celle-ci craque sur son patron depuis deux ans mais bon c’est son patron…Vous vous en doutez, rien ne va être simple pour eux… Entre le retour de l’ex d’Emma et le père de ce dernier, les deux amoureux vont devoir traverser bien des épreuves en quelques mois. Pas de panique tout va s’arranger car tout s’arrange toujours dans les romans (ou presque).

Comme de nombreux personnages de romance, Jack est un jeune homme riche, qui aime tout avoir sous contrôle que ce soit dans sa vie publique, professionnelle ou privée. Evidemment pour cela, il ne s’attache à personne, il ne dépasse jamais le troisième rendez-vous avec ses conquêtes. Je ne dirais pas qu’il m’a laissé indifférente car il semble très séduisant et très doué au lit. Il sait aussi bien se servir de sa langue, de ses mains que de son sexe. Et oui, mesdemoiselles c’est l’homme parfait ou presque. L’imperfection se situe dans son passé. Il a perdu ses parents, il est partie en vrille mais maintenant que tout va mieux, il contrôle tout jusqu’à la tenue que vous porterez pour aller faire vos courses. J’exagère juste un peu mais pas tant que ça.
Emma est une jeune femme forte, séduisante mais maman d’un petit garçon de cinq ans. Son travail et son fils lui prennent beaucoup de temps. Il lui en reste donc très peu pour refaire sa vie. Heureusement, ses amis font tout pour lui organiser des rendez-vous. Cela ne sert à rien car elle craque sur son séduisant patron qui gâte son fils comme si il en était l’oncle.

Quelques intrigues sans grands intérêts puisqu’Emma en exclus pratiquement toute la durée du roman et donc nous aussi. De ce fait, nous suivons la jeune femme qui se lamente sur une situation qu’elle ne comprend pas et surtout qu’elle ne peut vraiment changer. C’est dommage car ça a participé à mon ennuie. J’aurais aimé être plus intégrée à l’histoire de fond.

Le style de l’auteure est simple mais agréable. Les scènes de sexe sont présentes mais assez rare ce qui évite d’être lassée par les répétitions…

Pour conclure, une romance sans grand intérêt. Elle n’aura pas su me conquérir.


L’auteure (présentation de l’éditeur) :

Stacey Lynn vit aux Etats-Unis dans la région du Mid-Ouest. Elle coule des jours heureux en compagnie de son mari et de ses quatre enfants. Stacey passe ses soirées enveloppées dans une couverture et plongée dans un bon livre, ou armée de son ordinateur portable pour laisser cours à toutes les histoires qui lui trottent dans la tête.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
son blog (en anglais)
sa page Facebook (en anglais)


La maison d’édition (site internet) : 

« Le label Milady a été créé par les éditions Bragelonne le 6 juin 2008. Il est spécialisé comme la maison mère dans la publication de livres de fantasy, de terreur et de science-fiction. Il publie des titres en grand format et en poche, des textes inédits, des rééditions et des licences. »

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
le blog
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le site internet


Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez : 



Merci à Aurélia et aux éditions Milady pour leur confiance et l’intérêt qu’elles portent à Ma bibliothèque virtuelle.


samedi 28 mars 2015

Létal, tome 3 : Secrètement vôtre – Cynthia Eden

Ayant été conquise par les deux premiers tomes, c’est avec grand plaisir que je me suis lancée dans celui-ci. Il n’a d’ailleurs pas fait long feu malgré la fatigue et les journées bien remplies.



Résumé (présentation de l’éditeur) :
Rattrapée par son passé…
Malgré ses blessures, Samantha Kennedy, agent spécial du FBI, n’a pas hésité à se jeter dans les bras d’un bel inconnu pour une nuit sauvage et passionnée. Même si elle a ensuite fui son lit à l’aube. Mais Max Ridgeway, brillant chef d’entreprise, n’est pas homme à s’en contenter. Il est prêt à tout pour conquérir la mystérieuse jeune femme. Et lorsque le frère adoptif de Max est kidnappé, le couple se trouve entraîné dans une traque sanglante qui contraint Samantha à dévoiler ses plus sombres secrets…


Première phrase :
« Je pensais que tu aurais plus de valeur. »


Nombre de pages :
Milady : 281 pages.


Mon avis :
C’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé l’équipe de la Sérial Service Division dans une nouvelle enquête. Cette fois, il s’agit d’un tueur en série qui s’en prend au fils de… Si leurs parents ne payent pas la raison, il les tue d’une façon affreuse et dépose les corps dans des lieux appartenant aux familles visées. Qui est ce tueur ? Une personne jalouse ? Un pauvre ? Vous serez surpris pas le coupable.

Pour mener cette enquête, c’est Luke qui est choisi pourtant il va avoir besoin de l’aide de Samantha. En effet, celle-ci se retrouve mêlée à l’enquête. Le frère de son nouvel amant a été enlevé par le tueur. Le méchant de l’histoire interdit à la famille de prévenir la police. Ainsi la présence incognito de Samantha va permettre à notre équipe spécial de résoudre cette nouvelle enquête. Y arriveront-ils avant avant que Quinlan soit tué à son tour ?
Dans le premier tome de cette saga, nous avions déjà entendu parler de Samantha, ainsi nous la connaissions un peu. Pourtant, c’est une facette plus personnelle que nous découvrons ici. J’ai beaucoup aimé ce personnage. Elle est forte mais si elle en doute. J’aime sa façon de voir de les choses, de relativiser malgré l’enfer qu’elle a vécu.
Max, l’amant de Samantha est assez difficile à cerner mais je me suis peu à peu attacher à lui.
J’ai été contente de retrouver Luke et Monica même si on ne les aperçoit que très rarement. Par contre, aucune nouvelle de Kenton et Lora ce qui est dommage.

Cynthia Eden a très bien menée son enquête. Je n’ai pas identifié le coupable avant que l’auteur nous le révèle. A aucun moment, je n’avais soupçonné ce personnage d’être responsable de ces boucheries.
Une fois de plus, l’auteure a su parfaitement mêler enquête et histoire d’amour. C’est vraiment le point fort de cette saga.

Pour conclure, un troisième tome passionnant. L’enquête et l’histoire d’amour se mêlent parfaitement. La première est rondement menée tant dis que la seconde est agréable à lire.


L’auteure (présentation de l’éditeur) :

Première de sa promotion lors de brillantes études de communication et de sociologie, Cynthia Eden a commencé par travailler pour le journal de l’université. Elle s’est rapidement rendue compte qu’écrire de la fiction était bien plus amusant que de se cantonner aux faits. Elle a exercé les métiers d’enseignante et de conseillère d’orientation avant de se consacrer pleinement à l’écriture.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller faire un tour sur :
sa page Facebook (en anglais)
son site internet (en anglais)


La maison d’édition (site internet) :
« Le label Milady a été créé par les éditions Bragelonne le 6 juin 2008. Il est spécialisé comme la maison mère dans la publication de livres de fantasy, de terreur et de science-fiction. Il publie des titres en grand format et en poche, des textes inédits, des rééditions et des licences. »

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :
le blog
la page Facebook
le site internet


Pour découvrir d’autres avis sur ce livre, je vous donne rendez-vous chez : 



Merci à Aurélia et aux éditions Milady pour leur confiance et l’intérêt qu’elles portent à Ma bibliothèque virtuelle.


vendredi 27 mars 2015

Deux jours au Salon du Livre de Paris 2015

Après un an d’attente, c’est enfin le retour du Salon du Livre de Paris. Un évènement qui permet de rencontrer des bloggeuses, des auteurs, des attachées presse… mais aussi de faire le plein de livres et de dédicaces. Je me suis mis à la diète côté achat de livres depuis début 2015 afin de pouvoir me lâcher lors de ce salon.

Le problème de ce salon c’est qu’il a un coût important. Entre le trajet, l’entrée du salon, l’achat des livres, les repas et le logement, c’est rapidement un moyen de se ruiner.
Plusieurs semaines avant ce grand événement, je me suis lancée à la recherche d’entrée gratuite. J’ai tenté la demande d’accréditation presse auprès du Salon du Livre mais bon cette année, les bloggeurs étaient quelques peu boudés. J’ai donc parcouru la toile à la recherche de concours. C’est finalement Les amis du Père Castor qui m’ont permis de venir passer le samedi et La petite tortue qui m’a permis d’y aller le dimanche (désolée pour ton accident, j’espère que tu seras là l’année prochaine).
Une fois les entrées en main pour les deux jours, il fallait trouver une solution pour le trajet et surtout pour l’hébergement. Covoiturage pour l’aller et train pour le retour m’ont permis de faire quelques économies. Marine a gentiment accepté de m’héberger le temps d’une nuit.

Je crois que ça a été la semaine la plus longue de l’année. J’avais l’impression qu’elle ne passait pas. Heureusement, le vendredi soir est arrivé. Il était temps de préparer mes affaires.
Attention à ne rien oublier entre le billet de train, les places d’entrées, mon programme, la clé de Milady pour délivrer le mystérieux Prince captif sans oublier mon sac Rebelles récupéré l’an dernier pour transporter les livres.



Samedi 21 mars

Je suis arrivée au Salon du Livre, le samedi aux alentours de 11h30.
Pas de temps à perdre, je file vers le stand éditions Rebelles pour acheter le second tome de Touch : Réminiscence de Danielle Guisiano. J’avais raté l’auteure l’an dernier mais cette année, c’est bon. Un échange très rapide (et oui, je suis timide) mais très sympathique. L’auteure a même accepté de poser pour le blog.



Par contre, comme l’année dernière, je suis assez déçue de l’organisation du Stand. C’est assez compliquée de pouvoir approcher le stand pour regarder les livres, encore plus pour en acheter un. En effet, cette maison d’édition est très proche des bloggeurs. De ce fait, les bloggeurs sont très nombreux à venir papoter avec l’éditrice et ainsi il est compliqué d’être là pour acheter. Certes, c’est un côté positif, cette proximité mais d’un autre côté ça peu en décourager plus d’un. Pour ce faire pardonner, cette année, je n’ai pas eu le droit au sac mais à un joli badge au couleur de la maison d’édition.

Je me suis retrouvée sur le stand en même temps que Nathalie. Ça été l’occasion d’un petit selfie histoire d’immortaliser notre rencontre.



C’est aussi sur ce stand que j’ai retrouvé Marine avec qui je passe le weekend Salon du Livre. On ne s’était que très rapidement croiser l’année dernière donc cette année on en profite.

Aller c’est partie, direction les différents stands où nous avons prévu de dépenser des sous. Entre autres, nous sommes passées chez J’ai lu, Harlequin, Robert Laffont…

L’heure de manger est arrivée. Direction le coin pique-nique.

Le marathon des dédicaces commencent dès 13h30 avec Angélique Barbérat pour L’instant précis où les destins s’entremêlent sur le stand J’ai lu. A notre grande surprise, il n’y avait pas grand monde ainsi l’attente a été assez rapide. J’ai quand même profiter de cette attente pour papoter rapidement avec Karline qui attendais pour une autre auteure.
Revenons-en à Angélique Barbérat, une auteure très sympathique mais très timide. L’échange a été rapide mais agréable.




Marine souhaitait une dédicace de Emily Blaine nous nous sommes donc rendues sur le stand Harlequin. Et là, surprise, il y a déjà pas mal d’attente et la file ne fait que s’allonger. Nous rencontrer d’autres lectrices très sympathiques avec qui nous échangeons. Les éditions Harlequin nous offre des sucettes en forme de cœur pour patienter et Emily Blaine des Chamallow. Nous avons profité de cette attente pour faire une photo souvenir avec Marine.



La rencontre avec Emily Blaine était juste géniale. L’auteure est super sympa, drôle, elle prend le temps de discuter avec ses lecteurs… Ça m’a donné envie de découvrir sa plume.



15h est arrivée, il est donc temps d’aller s’installer dans la file d’attente de Marc Levy pour une petite dédicace bien rapide. Pendant cette attente, nous sommes parties dans différents délires avec Marine. Nous avons réfléchi à un écrire un livre sur comment kidnapper un auteur en 10 leçons, puis nous avons prévu d’en écrire un pour que les auteurs puissent parer les attaques des lecteurs. La folie nous a ensuite pris à cause d’un mal au pied grandissant. Nous avons émis le projet de piquer une chaise qui traînait sur le stand Robert Laffont, puis avons prévu de venir avec un fauteuil roulant l’an prochain mais finalement pas très pratique, pourquoi pas un déambulateur avec petit siège ? Pour finir, nous ouvrirons finalement un stand de location de chaise l’an prochain sur le Salon du livre donc n’hésitez à venir nous louer vos chaises l’an prochain ;).
L’attente arrive à sa fin. Nous apercevons Marc Levy mais aussi Nikos Aliagas.



Enfin, c’est notre tour. Marc Levy est très sympathique, il prend même le temps de poser pour le blog.





L’attente pour Marc Levy a eu raison de nos pieds, nous nous dirigeons donc tranquillement vers le lieu de la conférence sur la Romance Young adulte.
Au passage, je découvre les éditions A contre sens et l’auteure Lydie Lemaire Williams. Je n’avais pas prévu d’achats ici, mais je me suis laissée tenter pour le futur cadeau d’anniversaire du frère de mon filleul. Son premier livre dédicacé.



Nous arrivons en avance sur la scène de la conférence. C’est la fin du Cosplay. Nous patientons quelques minutes puis c’est partie pour une heure sur la Romance Young Adulte.



Cette conférence est animée par Karen. Cat Clarke, Charlotte Bousquet et Georgia Caldera sont les trois auteures présentes pour nous parler de ce sujet.



Je suis un peu déçue de cette conférence. Je n’ai rien appris. A part le fait, qu’apparemment il y a une différence entre romance et histoire d’amour. En effet, Autant en emporte le vent ne serait pas une romance pour Karen car les romances doivent toujours bien se terminer. Qu’en pensez-vous ? Les questions étaient principalement centrées sur les écrits de Cat Clark et de Charlotte Bousquet. De ce fait, on avait quelques peu l’impression que Georgia Caldera était hors thème. Quelques répétitions dans les questions étaient un peu agaçantes. De plus, j’ai trouvé dommage qu’il n’y ai pas plus d’échange entre les auteures.

Cette conférence m’aura au moins donné envie de découvrir Kiss in the dark de Cat Clark. D’ailleurs l’auteure a l’air vraiment très sympathique, simple et très joyeuse. Ca donne le souhait de connaître un peu plus sa plume.



Les livres de Charlotte Bousquet ne m’ont pas vraiment tenté mais j’ai adoré les chaussettes de l’auteure. Je sais aucun rapport avec le sujet mais mes yeux ont été attirés, ce n’est pas de ma faute.



J’ai apprécié le fait que Georgia Caldera soit la seule à regarder le public. En effet, les autres auteures s’adressaient à Karen et pas au public. De ce fait, on se sentait parfois un peu de trop. En tout cas, cette conférence aura eu le mérite de donner envie à Marine de lire le second tome des Larmes rouges.



Pour terminer cette journée, direction le stand J’ai lu pour la dédicace de Georgia Caldera. Comme toujours, elle prend le temps de discuter avec ces lecteurs. Certes l’attente est longue mais ça vaut le coup.



Dimanche 22 mars

Après une petite nuit, je suis de retour au Salon du Livre en compagnie de Marine et une amie à elle, Anne-Sophie. La journée de dimanche s’annonce moins chargée que celle de la veille et heureusement car je suis plutôt fatiguée.

Premier arrêt au stand Milady où je n’avais pas eu le temps de m’arrêter la veille. Je vais aller délivrer mon Prince captif. Il s’agit en réalité, des épreuves non corrigées d’une nouvelle saga dont les deux premiers tomes seront publiés chez Milady Romance fin mai 2015.



Honte à moi, je n’ai pas pris en photo la cage de notre Prince captif mais heureusement Francesca l’a fait.



J’ai aussi pu faire la connaissance d’Aurélia, l’attachée presse de Milady Romance. Une jeune femme très sympathique avec qui j’ai papoté quelques minutes. Elle a su me donner envie de découvrir la nouvelle saga. J’ai aussi retrouvé Karline et Mylène avec nous avons papoté un petit peu.

En attendant, ma première dédicace du jour, je me suis promenée à la recherche d’un livre sur Pâques pour mon filleul. La chance m’a souri chez Gallimard où l’auteur du livre acheté était en dédicace. A tout juste un an, mon filleul aura sa première dédicace de Antoon Krings.



Il est l’heure d’aller chez le Diable Vauvert pour une dédicace de Titiou Lecoq sur La théorie de la tartine. L’auteure est adorable, très abordable et sympathique. Elle m’a donné envie d’acheter son précédent livre publié chez Bayard.





Je retrouve Marine qui attend pour une dédicace de Agnès Ledig. Oups, je me rends compte que j’ai totalement oublié la conférence de Maxime Chattam, tant pis. Par contre, les fans n’ont pas oublié sa dédicace. Elle ne commence que dans trois heures et ils sont déjà bien nombreux à patienter.

Notre estomac réclame à manger. C’est l’occasion de croiser Marmotte des Bouquinautes et de papoter un peu avec elle.


Une petite photo souvenir avec Marine et Anne-Sophie et nous voilà repartie dans la chasse aux livres. Petit passage chez J’ai Lu, entre autres pour que Anne-Sophie achète Hors de portée de Georgia Caldera ainsi que sur le stand des éditions Harlequin pour que j’achète un livre d’Emily Blaine malheureusement, il n’y en a plus. Nous passons rapidement sur le stand d’Albin Michel, histoire de prendre une photo du beau Maxime Chattam. 



Direction la salle connexion pour la conférence sur la Romance. Nous retrouvons à nouveau Mylène et Karline.



Emily Blaine, Louisa Méonis, Cécile Chomin et Angela Morelli sont très souriantes, drôles… On voit qu’elles sont heureuses d’être là. Elles nous ont donné l’impression d’être des femmes comme tout le monde et ça c’est génial.



Une conférence très intéressante qui m’a donné envie de découvrir encore plus la plume d’Emily Blaine ainsi que celle de Cécile Chomin. Si vous voulez en savoir plus sur cette conférence, aller faire un tour sur le blog de Karline qui a fait un compte-rendu très détaillé.


Et voilà, l’heure du retour a sonné. J’avoue que j’étais triste de voir ce weekend ce terminer mais contente aussi de rentrer car ce n’est vraiment pas de tout repos. Une chose est sûre, j’espère bien être à nouveau présente l’année prochaine.

Pour terminer, une petite photo pour vous montrer à quel point j’ai été raisonnable…



Pour plus de photos je vous donne rendez-vous ici.